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Tremblante

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L'hypothèse de l'origine alimentaire des cas d'Encéphalopathie spongiforme bovine est confortée.

NOTRE ALIMENTATION, le 01/01/2000 : 49 cas d'Encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ont été diagnostiqués, en France, entre 1991 et 1998, par le " Réseau d'épidémiosurveillance " de la maladie (56 le sont au 8 mars 1999). […].

L'hypothèse de l'origine alimentaire des cas d'Encéphalopathie spongiforme bovine est confortée.

NOTRE ALIMENTATION, le 01/01/2000 : 49 cas d'Encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ont été diagnostiqués, en France, entre 1991 et 1998, par le " Réseau d'épidémiosurveillance " de la maladie (56 le sont au 8 mars 1999). […].

Des souris protégées de la tremblante par des anticorps anti-prion

Caducee.net, le 10/09/2001 : Des chercheurs européens sont parvenu à protéger des souris d'une infection par des protéines prions en exprimant chez ces animaux des anticorps dirigés contre les protéines prions. Bien que cette approche ne soit pas utilisable chez l'homme, les chercheurs estiment que c'est un premier pas vers des moyens d'immunisation. […].

Suspicion de la présence d’une souche similaire à celle de l’ESB chez une chèvre abattue en 2002- Eléments de synthèse et d’analyse

1. Rappel de l’information d’octobre 2004 :, le 10/10/2004 : Le réseau français de typage des souches de cas d’ESST identifiés dans le cadre du programme de surveillance communautaire, a signalé, sur une chèvre abattue en 2002, la présence d’un agent infectieux dont les caractéristiques, à ce stade des études, présentent des similitudes avec une souche d’ESB. Un délai de deux ans a été nécessaire pour effectuer des analyses qui ont comporté l’inoculation de la souche suspecte à des souris. Des résultats complémentaires sont attendus au cours des trois prochains mois, qui devraient permettre de confirmer ou d’infirmer cette suspicion. […].

Prion : un traitement efficace chez la souris pourrait être utilisable chez l’homme

Caducee.net, le 19/07/2002 : Un groupe de chercheurs allemands a mis au point une approche thérapeutique qui permet d’allonger très significativement l’espérance de vie de souris expérimentalement infectées par une souche de prion responsable de tremblante. Les résultats pourraient constituer une nouvelle voie thérapeutique pour les maladies à prion chez l’homme. […].

Les cellules dendritiques impliquées dans la neuro-transmission du prion chez la souris

Caducee.net, le 12/09/2001 : L’INSERM a réuni ce matin rue de Tolbiac à Paris la presse dans le cadre d’une Action Thématique Concertée (ATC) sur le prion. L’invité d’honneur était le docteur Pierre Aucouturier, immunologiste à l’unité Inserm 25 qui venait présenter ses derniers travaux sur le rôle des cellules dendritiques dans le transfert vers le cerveau des agents responsables des encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST), autrement dit les prions. […].

Une origine humaine à l'ESB ?

Caducee.net, le 03/09/2005 : De la nourriture animale contaminée par des restes humains pourrait être à l'origine des premiers cas d'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), proposent des chercheurs dans un article publié dans la revue médicale anglaise The Lancet. […].

Etat de la recherche sur les maladies à prions : une conférence de presse à la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM)

Caducee.net, le 29/01/2001 : Les encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) sont au centre de la conférence organisée aujourd'hui par la FRM. Clairement informative et impartiale, cette réunion permet de dresser un bilan des connaissances sur ces maladies et sur les principaux moyens et enjeux de la recherche sur les prions, ces agents infectieux non conventionnels. […].

Intérêt de la transgénèse pour comprendre les maladies à prions

Hubert LAUDE, le 15/06/2000 : Le point complet sur intérêt de la transgénèse pour comprendre les maladies à prions : . […].

Intérêt de la transgénèse pour comprendre les maladies à prions

Hubert LAUDE, le 15/06/2000 : Le point complet sur intérêt de la transgénèse pour comprendre les maladies à prions : . […].

‘Vache folle’ et nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob : un lien plus fort que jamais

Caducee.net, le 21/12/1999 : Au terme d'une élégante série d’expériences menées sur des souris transgéniques exprimant le gène codant pour le prion d’origine bovine, une équipe de chercheurs américains et britanniques livrent les arguments les plus convaincants à ce jour en faveur du passage à l’homme de l’agent responsable de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB). […].

Un nouveau marqueur moléculaire des encéphalopathies spongiformes transmissibles

Caducee.net, le 01/03/2001 : Des chercheurs écossais ont montré que l'expression d'un gène particulier était profondément perturbée chez plusieurs modèles animaux d'encéphalopathie spongiforme transmissible (EST). Ce résultat est particulièrement intéressant car il pourrait conduire à la mise au point d'un test de dépistage sanguin. Le marqueur en question est spécifique des cellules de la lignée érythrocytaire, ce qui apporte de nouveaux éléments sur la pathogenèse de la maladie. […].

Des chercheurs ont pu bloquer l'accumulation du prion et retarder l'apparition de la maladie chez la souris

Caducee.net, le 19/05/2000 : Les chercheurs expliquent dans la revue Science que ceci a été rendu possible en faisant disparaître les cellules folliculaires dendritiques de la rate, cellules qui semblent désormais essentielles à la l'accumulation du prion dans la rate avant l'envahissement du système nerveux central. La méthodologie employée pourrait éventuellement amener à une thérapie pour ralentir la progression de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. […].

Les cellules qui propagent le prion infectieux sont identifiées

Caducee.net, le 02/11/1999 : Une équipe de chercheurs britanniques annonce que les cellules folliculaires dendritiques de la rate sont celles qui assurent la réplication de la protéine prion pathologique. […].

Des anticorps contre les maladies à prions

Caducee.net, le 06/03/2003 : Il n’existe actuellement aucun traitement contre les maladies à prions. Cependant, de nouvelles recherches menées chez l’animal indiquent que des anticorps spécifiques pourraient bloquer la réplication des prions et retarder la maladie. […].

Don du sang : exclusion en France des donneurs ayant séjourné plus d'un an en Grande Bretagne entre 1980 et 1996

Caducee.net, le 19/12/2000 : Le groupe d'experts chargés d'évaluer le risque éventuel de transmission du prion pathogène par voie sanguine a rendu son rapport public aujourd'hui. Bien que s'accordant sur le fait que ce risque ne soit pas scientifiquement démontré, une minorité d'experts estime qu'une mesure de précaution est nécessaire. Elisabeth Guigou, ministre de l'Emploi et de la Solidarité, et Dominique Gillot, secrétaire d'Etat à la santé, ont décidé "au titre d'une précaution maximale" d'exclure du don du sang les sujets qui ont séjourné au moins un an en Grande Bretagne durant la période 1980-1996. […].

Un essai de vaccination contre les maladies à prion

Caducee.net, le 03/07/2002 : Des chercheurs de l’Université de New York sont parvenus à retarder l’apparition d’une maladie à prion chez des souris grâce à une immunisation par une protéine prion modifiée. Les anticorps générés jouent un rôle critique dans la durée du retard observé. […].

La forme infectieuse du prion peut fixer le plasminogène

Caducee.net, le 23/11/2000 : Des chercheurs suisses et autrichiens viennent de démontrer que la forme pathogène de la protéine prion (PrPSc) peut se lier au plasminogène. Cette interaction PrPSc/plasminogène est spécifique et permet de distinguer la forme pathogène PrPSc de la forme native non infectieuse PrPC. Cette propriété pourrait être utilisée comme outil diagnostique. Néanmoins, ces travaux ne prouvent pas que le plasminogène soit un ligand qui participe in vivo aux mécanismes conduisant à la maladie. […].

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