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Limite de détection
10 résultats triés par date
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VIH : le virus s’associe aussi aux érythrocytes
Caducee.net, le 28/06/2002 : Un nouvel élément de l’infection par le VIH-1 vient d’être mis à jour. Des chercheurs ont en effet montré qu’il existe des ‘pools’ de virus associés aux globules rouges. Ces pools de VIH-1 peuvent être détectés même chez les patients où l’ARN viral n’est plus détectable dans le plasma. […].
L’impossible éradication du VIH
Caducee.net, le 25/10/1999 : Des chercheurs américains ont démontré que le virus du sida n’était absolument pas éradiqué chez deux patients chez lesquels une stratégie thérapeutique avait pourtant entraîé la disparition totale du VIH dans le sang périphérique et dans les cultures de biopsies ganglionnaires. […].
Contamination alimentaire par des éléments traces : des résultats encourageants selon le Ministère de l'Agriculture et de la Pêche
Caducee.net, le 01/03/2000 : Une étude commandée par la Direction Générale de l'Alimentation (DGAL) indique que les concentrations alimentaires en pesticides, métaux lourds et radionucléiques restent inférieures aux limites toxicologiques acceptables. […].
Intérêt du dosage de la procalcitonine sérique dans le diagnostic rapide de la méningite bactérienne ou virale de l’adulte
Caducee.net, le 18/04/2000 : La procalcitonine sérique est un paramètre biochimique intéressant à prendre en compte dans la prise en charge diagnostique des syndromes méningés de l’adulte, montre une étude réalisée par des médecins du service d’urgence et réanimation médicales de l’hôpital Bellevue du CHU de Saint-Etienne. […].
Un exemple réussi de trithérapie après une transfusion de globules rouges contaminés par le VIH
Caducee.net, le 06/07/2000 : L'initiation rapide d'une trithérapie chez un patient transfusé avec du sang contaminé par le VIH semble avoir empêché l'infection. La trithérapie avait débuté 50 heures après la transfusion et avait duré 9 mois. […].
Lamivudine et transmission verticale du VHB
Caducee.net, le 29/04/2002 : Dans le dernier Lancet, des auteurs indiens décrivent le cas d'une transmission verticale du virus de l'hépatite B malgré un traitement prolongé et apparemment efficace par lamivudine. […].
La distinction entre les aliments génétiquement modifiés et les aliments traditionnels
EUFIC, le 01/01/2000 : Les préoccupations nées en Europe du manque de choix laissé au consommateur entre un aliment génétiquement modifié et un aliment traditionnel pourraient être atténuées par la mise en place d'une législation claire et de nouvelles méthodes de détection. […].
La distinction entre les aliments génétiquement modifiés et les aliments traditionnels
EUFIC, le 01/01/2000 : Les préoccupations nées en Europe du manque de choix laissé au consommateur entre un aliment génétiquement modifié et un aliment traditionnel pourraient être atténuées par la mise en place d'une législation claire et de nouvelles méthodes de détection. […].
Les pesticides : protection des cultures pour une protection du consommateur
APRIFEL, le 01/01/2000 : Voici à nouveau les produits phytosanitaires sur le devant de la scène médiatique, c'est un phénomène périodique mais qui semble cette fois se manifester avec davantage d'insistance depuis la publication par la Direction de la Santé et de la Protection des Consommateurs de la Commission Européenne (DG SANCO) au mois de juin dernier des résultats de 17 évaluations nationales (15 états de l'Union plus la Norvège et l'Islande) effectuées en 1999 concernant les résidus de produits de protection des plantes dans les denrées d'origine végétale (fruits, légumes et céréales). Ce rapport met à l'index la France en la plaçant au rang des mauvais élèves avec un taux d'échantillons non conformes de 8% (dépassement des limites maximales de résidus - LMR autorisées) soit environ deux fois supérieur à la moyenne européenne. Ces résultats, considérés en première analyse, sont assez surprenants et peuvent inquiéter légitimement les producteurs et les consommateurs. Il convient cependant de ne pas céder à la psychose et d'indiquer que lorsqu'un produit phytosanitaire est autorisé à être mis sur le marché, c'est après un examen de passage extrêmement sévère, notamment en ce qui concerne les risques toxicologiques et que si les Bonnes Pratiques Agricoles Critiques sont respectées, la sécurité des du consommateur est assurée au mieux, en l'état actuel des connaissances scientifiques, tout en ayant présent à l'esprit que le risque zéro n'existe pas. […].
Les pesticides : protection des cultures pour une protection du consommateur
APRIFEL, le 01/01/2000 : Voici à nouveau les produits phytosanitaires sur le devant de la scène médiatique, c'est un phénomène périodique mais qui semble cette fois se manifester avec davantage d'insistance depuis la publication par la Direction de la Santé et de la Protection des Consommateurs de la Commission Européenne (DG SANCO) au mois de juin dernier des résultats de 17 évaluations nationales (15 états de l'Union plus la Norvège et l'Islande) effectuées en 1999 concernant les résidus de produits de protection des plantes dans les denrées d'origine végétale (fruits, légumes et céréales). Ce rapport met à l'index la France en la plaçant au rang des mauvais élèves avec un taux d'échantillons non conformes de 8% (dépassement des limites maximales de résidus - LMR autorisées) soit environ deux fois supérieur à la moyenne européenne. Ces résultats, considérés en première analyse, sont assez surprenants et peuvent inquiéter légitimement les producteurs et les consommateurs. Il convient cependant de ne pas céder à la psychose et d'indiquer que lorsqu'un produit phytosanitaire est autorisé à être mis sur le marché, c'est après un examen de passage extrêmement sévère, notamment en ce qui concerne les risques toxicologiques et que si les Bonnes Pratiques Agricoles Critiques sont respectées, la sécurité des du consommateur est assurée au mieux, en l'état actuel des connaissances scientifiques, tout en ayant présent à l'esprit que le risque zéro n'existe pas. […].
Le test salivaire numérique COVID-19 de 25 secondes de Canary, d'une sensibilité de 98 %, obtient le marquage CE
PRNEWSWIRE, le 15/03/2021 : - Le test ultra-rapide et non invasif offre une sensibilité de 98 % et une spécificité de 100 % chez les personnes symptomatiques et asymptomatiques infectées par la SARS-CoV-2, y compris les nouveaux variants connus […].