Vous êtes dans : Accueil > Actualités médicales >
Cellules souches
299 résultats triés par date
affichage des articles n° 55 à 73
Différenciation in situ de cellules souches en neurones dopaminergiques
Caducee.net, le 08/01/2002 : Des chercheurs américains et suédois ont réussi à faire différencier des cellules souches embryonnaires de souris en neurones dopaminergiques fonctionnels dans le cerveau de rats chez qui avaient été induits les symptômes de la maladie de Parkinson (MP). La greffe semble avoir restauré les fonctions cérébrales ainsi que les caractéristiques anatomohistologiques des tissus cérébraux lésés. […].
Modifier les cellules souches hématopoïétiques pour activer le système immunitaire
Caducee.net, le 09/01/2002 : Des chercheurs américains ont réussi à modifier génétiquement des cellules souches hématopoïétiques (HSCs) humaines de façon à ce qu’une fois greffées chez la souris, elles expriment le transgène uniquement dans les cellules immunitaires présentatrices d’antigènes (APC). […].
La longévité est limitée par les cellules souches des lignées germinales chez Caenorhabditis elegans
Caducee.net, le 18/01/2002 : Ce sont les conclusions d’une équipe de chercheurs américains publiées aujourd’hui dans la revue Science. Les auteurs ont travaillé sur le ver nématode Caenorhabditis elegans et ont observé que chez cet organisme, l'espérance de vie était augmentée considérablement (environ 60%) lorsque les cellules souches des lignées germinales sont absentes. Ce phénomène n’est pas une conséquence de la stérilité, puisque ni l’absence des spermatozoïdes, ni celle des ovocytes ou bien même celle des cellules précurseurs méiotiques, ne sont responsables de cet effet. […].
Maladie de Huntington : bilan de la greffe de cellules souches neurales
Caducee.net, le 27/02/2006 : Les médecins et chercheurs français à l’origine de greffes de cellules souches neurales chez des patients atteints de la maladie de Huntington viennent de publier une étude sur leur évolution à long terme, soit six ans après la transplantation. […].
L'Université de Floride et Cyntellect collaborent pour découvrir les mystères des cellules souches cancéreuses
PR Newswire, le 20/11/2008 : SAN DIEGO, November 20 /PRNewswire/ -- Cyntellect, une société à responsabilité limitée en sciences biologiques à la tête du développement et de la commercialisation des analyses de cellules vivantes, des systèmes de purification et de manipulation, a annoncé aujourd'hui qu'elle avait passé un accord de collaboration de recherche avec l'Interdisciplinary Center for Biotechnology Research (Centre interdisciplinaire pour la recherche biotechnologique) de l'Université de Floride. L'accord portera sur plusieurs domaines de recherche tels que la purification et l'analyse des cellules souches cancéreuses (CSCs - Cancer Stem Cells), des cellules rares qui sont vraisemblablement directement impliquées dans la propagation des cancers. La collaboration exploitera le système exclusif LEAP de Cyntellect afin de purifier ces CSC et leur descendance, sans les perturber de leur environnement de croissance -- un exploit qui devrait améliorer la capacité des médecins à étudier les propriétés naturelles et les réponses de ces cellules. Selon les termes de l'accord, l'Université de Floride aura accès au LEAP et Cyntellect recevra certains paiements et droits commerciaux pour les découvertes faites dans le cadre de la collaboration. […].
La radiorésistance des cellules souches cancéreuses mieux comprise
Caducee.net, le 09/02/2009 : Des chercheurs viennent de démontrer que les cellules souches de cancer du sein présentent un niveau plus faible d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) que les autres types cellulaires de ces tumeurs. Ce phénomène pourrait contribuer à l’acquisition d’une résistance à la radiothérapie. […].
Carcinome rénal métastatique : la transplantation de cellules souches hématopoïétiques a entraîné la régression de la maladie
Caducee.net, le 14/09/2000 : Une étude publiée dans le New England Journal of Medicine montre que la transplantation allogénique de cellules souches hématopoïétiques périphériques (CSP) peut conduire à une régression tumorale chez la majorité des patients traités par cette procédure. Selon les médecins qui ont mené cet essai, ces résultats prometteurs ne doivent pas faire oublier le caractère expérimental du traitement. […].
La plasticité des cellules souches hématopoïétiques est très limitée in vivo
Caducee.net, le 09/09/2002 : La capacité des cellules souches hématopoïétiques (CSH) de la moelle osseuse à se différencier vers des cellules spécialisées (autres que les cellules du sang périphériques) ne serait pas aussi importante qu’on pourrait le penser, d’après ce travail réalisé par des chercheurs de l’université de Stanford aux Etats Unis qui publient leurs résultats dans la revue Science. […].
Greffe de cellules souches neurales chez la souris
Caducee.net, le 02/10/2002 : Une équipe de neurochirurgiens américains de Pennsylvanie a réussi à greffer chez la souris soumise à un traumatisme cérébral expérimental, des cellules souches neurales (CSN) à l’endroit de la lésion, qui ont survécu, se sont divisées en neurones et en cellules gliales, et ont permis une amélioration des fonctions motrices des animaux. […].
Des cellules souches pour guérir le diabète
Caducee.net, le 23/06/2003 : Des cellules souches de moelle osseuse transplantées chez les souris modèle de la maladie diabétique ont permis d’accroître le taux d’insuline à un niveau proche de la normale et de réduire la glycémie. […].
Diabete : Les cellules souches, un nouveau traitement pour les patients atteints de neuropathie diabétique périphérique
Caducee.net, le 09/07/2012 : Une étude parue aujourd'hui dans la revue américaine STEM CELLS signale les bénéfices d'une nouvelle approche thérapeutique permettant d'apporter un soulagement à des nombreux patients diabétiques souffrant de neuropathies périphériques. […].
Une souris transgénique issue de cellules souches germinales mâles transformées
Caducee.net, le 23/10/2001 : Des chercheurs américains ont réussi pour la première fois, toutes espèces confondues, à établir une lignée de souris transgéniques à partir d’une cellule souche germinale mâle. Le transgène, apporté par un rétrovirus, est apparu stable dans environ 4,5% des descendants de souris implantées avec ces cellules et a été transmis et exprimé pendant au moins trois générations successives. […].
Succès d’une thérapie cellulaire sur l'immunodéficience combinée sévère humaine
Caducee.net, le 18/04/2002 : L’équipe INSERM de Marina Cavazzano-Calvo (Hôpital Necker, Paris) publie, deux ans et demi après ses premiers essais cliniques de thérapie cellulaire visant à corriger le défaut génétique impliqué dans l’immunodéficience combinée sévère liée à l’X (ICS-X, voir dépêche caducee), la réussite de ces essais sur quatre enfants atteints de cette maladie, chez qui le gène correcteur a été apporté ex vivo dans leurs propres cellules hématopoïétiques et réimplantées par la suite. […].
Cellules souches: choix à la carte!
Caducee.net, le 24/06/2002 : Alors que le potentiel thérapeutique des cellules souches en médecine dite régénératrice, commence à peine à être entrevu, nous sommes déjà en train de nous demander quelles sortes de cellules souches utiliser : adultes, embryonnaires, celles issues du clonage par transfert nucléaire ? Deux papiers sortant dans le même numéro de la revue Nature illustrent bien cette révolution biologique en marche : l’un démontre la multipotence des cellules mésenchymateuses issues de la moelle osseuse adulte tandis qu’un autre montre la capacité de cellules souches embryonnaires à se différencier en neurones dopaminergiques pour traiter un modèle de maladie de Parkinson chez le rat. […].
Ncardia et Evotec signent un accord de licence dans le domaine de la modélisation pathologique en utilisant des hiPSC
Ncardia, le 04/12/2017 : Selon les termes de l’accord, Evotec bénéficie d’un large accès à la PI de Ncardia pour la modélisation des maladies en utilisant des modèles cellulaires dérivés de cellules souches. La famille de brevets inclut l’utilisation in vitro de ces cellules dérivées de cellules souches pour tester l’efficacité et l’innocuité de médicaments ainsi que pour l'identification de cibles. […].
Le gène APC, premier responsable dans le cancer du colon ?
Caducee.net, le 18/12/2001 : C’est tout du moins ce que pensent des chercheurs de l’université Thomas Jefferson (Philadelphie, EU), après avoir modélisé par l’informatique, le développement incontrôlé des cellules souches issues des cryptes de la muqueuse intestinale, en se basant sur des patients atteints de polypose adénomateuse familiale colique (PAFC). Cette simulation suggèrerait que le gène APC régulerait le nombre de cellules souches des cryptes et que son altération conduirait à une surproduction de ces cellules, initiant le processus de tumorisation dans le colon. […].
Cellules souches embryonnaires, éthique et réglementation
Caducee.net, le 04/02/2002 : Une table ronde internationale intitulée : ‘Un état des lieux législatif et réglementaire sur l’utilisation des cellules souches embryonnaires’, a eu lieu samedi 2 février à la Cité des Sciences et de l’Industrie, venant clôturer une série de conférences consacrée à l’utilisation des cellules souches en recherche (consultables sur le site http://www.cite-sciences.fr ). Y participaient scientifiques, juristes et politiques, qui ont débattu, avec le public venu nombreux, de la question centrale de l’utilisation du tissu embryonnaire par les chercheurs. Cette discussion, très animée, était placée dans le contexte d’une actualité forte sur le sujet puisque actuellement notre représentation nationale est en train de débattre du nouveau projet de révision des lois sur la bioéthique de 1994. […].
Le clonage parfait impossible ?
Caducee.net, le 06/07/2001 : La reproduction à l'identique de cellules ou d'organismes par clonage paraît plus difficile qu'il n'y paraît. En effet, une équipe de recherche vient de montrer que des souris clonées à partir de cellules souches embryonnaires peuvent présenter des anomalies dans l'expression de certains gènes. D'après cette équipe qui publiera ses résultats dans la revue Science du 6 juillet, cette instabilité génétique pourrait poser des problèmes pour l'utilisation des cellules souches embryonnaires humaines. […].