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Encéphalopathies

24 résultats triés par date
affichage des articles n° 1 à 19

Un nouveau marqueur moléculaire des encéphalopathies spongiformes transmissibles

Caducee.net, le 01/03/2001 : Des chercheurs écossais ont montré que l'expression d'un gène particulier était profondément perturbée chez plusieurs modèles animaux d'encéphalopathie spongiforme transmissible (EST). Ce résultat est particulièrement intéressant car il pourrait conduire à la mise au point d'un test de dépistage sanguin. Le marqueur en question est spécifique des cellules de la lignée érythrocytaire, ce qui apporte de nouveaux éléments sur la pathogenèse de la maladie. […].

Ovid Therapeutics donnera une conférence au 12e Colloque international sur l'épilepsie

Ovid Therapeutics Inc., le 24/05/2019 : Il s'agit de la première présentation scientifique des données d'innocuité et de tolérance du OV-935 (TAK-935) dans les encéphalopathies développementales et épileptiques de l'essai clinique de phase 1b/2a […].

Une nouvelle mutation dans le gène du prion identifiée chez un patient atteint de la maladie de Creutzfeldt-Jakob

Caducee.net, le 27/07/2000 : Des médecins australiens ont identifié une nouvelle mutation dans le gène PRNP codant pour la protéine prion humaine. Cette mutation a été retrouvée chez un patient de 82 ans chez lequel une démence et un déclin neurologique s'étaient manifestés rapidement. Plusieurs analyses ont confirmé que le sujet était atteint de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. La description de ce cas permet d'étoffer notre connaissance des mutations pathologiques du gène de la protéine prion humaine. De plus, il suggère que la fréquence des encéphalopathies spongiformes humaines chez les personnes âgées pourrait être sous estimée et qu'elle n'exclut pas une origine génétique. […].

Risque ESST et produits sanguins

AFSSAPS, le 20/02/2000 : Dans le cadre de la veille sanitaire vis à vis du risque des encéphalopathies spongiformes transmissibles (ESST) et en particulier du risque du variant de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (v-MCJ) et produits sanguins, l’Afssaps apporte les informations suivantes : […].

Le virus de la dengue peut provoquer des maladies neurologiques

Caducee.net, le 28/03/2000 : La dengue, maladie causée par un arbovirus, peut provoquer des affections neurologiques. Dans les régions endémiques, les sujets atteints d'encéphalites et d'encéphalopathies doivent être considérés comme des patients potentiellement infectés par le virus. […].

Etat de la recherche sur les maladies à prions : une conférence de presse à la Fondation pour la Recherche Médicale (FRM)

Caducee.net, le 29/01/2001 : Les encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles (ESST) sont au centre de la conférence organisée aujourd'hui par la FRM. Clairement informative et impartiale, cette réunion permet de dresser un bilan des connaissances sur ces maladies et sur les principaux moyens et enjeux de la recherche sur les prions, ces agents infectieux non conventionnels. […].

Un mécanisme commun pour les maladies dues à une mauvaise conformation protéique ?

Caducee.net, le 04/04/2002 : Des pathologies comme la maladie d'Alzheimer ou les encéphalopathies spongiformes sont liées à la formation d'agrégats protéiques. Le passage des protéines d'une conformation tridimensionnelle normale à une conformation anormale peut initier cette agrégation et donner naissance à des structures cytotoxiques. Deux articles qui paraissent aujourd'hui dans Nature détaillent ces évènements et leurs conséquences. Ainsi, on peut légitimement envisager que ces pathologies partagent une origine commune, liée à une erreur dans l'acquisition de la structure spatiale des protéines. […].

Les cellules dendritiques impliquées dans la neuro-transmission du prion chez la souris

Caducee.net, le 12/09/2001 : L’INSERM a réuni ce matin rue de Tolbiac à Paris la presse dans le cadre d’une Action Thématique Concertée (ATC) sur le prion. L’invité d’honneur était le docteur Pierre Aucouturier, immunologiste à l’unité Inserm 25 qui venait présenter ses derniers travaux sur le rôle des cellules dendritiques dans le transfert vers le cerveau des agents responsables des encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST), autrement dit les prions. […].

Suspicion de la présence d’une souche similaire à celle de l’ESB chez une chèvre abattue en 2002- Eléments de synthèse et d’analyse

1. Rappel de l’information d’octobre 2004 :, le 10/10/2004 : Le réseau français de typage des souches de cas d’ESST identifiés dans le cadre du programme de surveillance communautaire, a signalé, sur une chèvre abattue en 2002, la présence d’un agent infectieux dont les caractéristiques, à ce stade des études, présentent des similitudes avec une souche d’ESB. Un délai de deux ans a été nécessaire pour effectuer des analyses qui ont comporté l’inoculation de la souche suspecte à des souris. Des résultats complémentaires sont attendus au cours des trois prochains mois, qui devraient permettre de confirmer ou d’infirmer cette suspicion. […].

Des agrégats protéiques à l’origine de maladies neurodégénératives

Caducee.net, le 28/06/2002 : La formation de dépôts protéiques sous forme d’agrégats est une des caractéristiques des maladies neurodégénératives. Cependant, on de savait si ces dépôts étaient une cause ou une conséquence de la maladie. De nouveaux travaux tendent à démonter que l’agrégation de protéines spécifiques est un événement suffisant pour causer une maladie neurodégénérative. […].

Les cellules qui propagent le prion infectieux sont identifiées

Caducee.net, le 02/11/1999 : Une équipe de chercheurs britanniques annonce que les cellules folliculaires dendritiques de la rate sont celles qui assurent la réplication de la protéine prion pathologique. […].

Transmission inter espèces du prion et adaptation

Caducee.net, le 18/10/2001 : Des chercheurs américains, à l’heure où certains scientifiques pensent que l’ESB se transmet à l’homme via les chats en Grande Bretagne, ont cherché à comprendre comment une maladie à prion pourrait se propager à d’autres espèces. Ils ont examiné les processus par lesquels la maladie dite de la ‘scrapie’ se transmet du hamster à la souris et constaté une capacité du prion à s’adapter à son nouvel environnement. […].

L'hypothèse de l'origine alimentaire des cas d'Encéphalopathie spongiforme bovine est confortée.

NOTRE ALIMENTATION, le 01/01/2000 : 49 cas d'Encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ont été diagnostiqués, en France, entre 1991 et 1998, par le " Réseau d'épidémiosurveillance " de la maladie (56 le sont au 8 mars 1999). […].

L'hypothèse de l'origine alimentaire des cas d'Encéphalopathie spongiforme bovine est confortée.

NOTRE ALIMENTATION, le 01/01/2000 : 49 cas d'Encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) ont été diagnostiqués, en France, entre 1991 et 1998, par le " Réseau d'épidémiosurveillance " de la maladie (56 le sont au 8 mars 1999). […].

Epidémiologie : les sources d'informations incontournables

Caducee.net, le 11/08/2015 : Une sélection de sites web et de sources d'information en matière d'épidémiologie […].

Intérêt de la transgénèse pour comprendre les maladies à prions

Hubert LAUDE, le 15/06/2000 : Le point complet sur intérêt de la transgénèse pour comprendre les maladies à prions : . […].

Intérêt de la transgénèse pour comprendre les maladies à prions

Hubert LAUDE, le 15/06/2000 : Le point complet sur intérêt de la transgénèse pour comprendre les maladies à prions : . […].

Relancer le débat sur la nouvelle variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob et l’ESB ?

Caducee.net, le 12/10/2001 : Le prion responsable de l’Encéphalopathie Spongiforme Bovine (ESB) est-il responsable de la nouvelle variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ)? C’est la question à laquelle George Venters tente de répondre dans le British Medical Journal de manière rigoureuse en se basant sur des critères objectifs. Selon cet épidémiologiste anglais, la variante ne serait pas causée par le prion et ne serait pas une maladie nouvelle. […].

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