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Cerveau
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La flore intestinale et les probiotiques jouent un rôle sur le stress et le comportement
PR Newswire, le 25/11/2008 : QUÉBEC, Canada, November 25 /PRNewswire/ -- Plus de 40 chercheurs, scientifiques et experts des probiotiques venus d'Europe et d'Amérique du Nord se sont rassemblés à Québec pendant deux jours pour participer au Séminaire Scientifique de l'Institut Rosell-Lallemand. Issus de disciplines très différentes et complémentaires, des neurosciences à la gastro-entérologie en passant par l'éthologie, tous partagent un intérêt commun pour la recherche et les applications liées aux probiotiques. Le séminaire avait pour thème central les relations complexes qu'entretiennent le cerveau et l'intestin. Des études passionnantes et innovantes qui contribuent à mieux comprendre les interactions entre cet axe « cerveau-intestin » et la flore intestinale ainsi que le potentiel des probiotiques furent présentées. Des études comportementales chez les animaux montrent en effet que les probiotiques peuvent aider à gérer le stress ou l'anxiété, ou même influer sur le comportement. Ces résultats aident à mieux appréhender ceux observés lors d'essais cliniques chez l'homme. Des maladies complexes dont on sait aujourd'hui qu'elles impliquent l'axe cerveau-intestin , tel le syndrome de l'intestin irritable, peuvent être ciblées avec des probiotiques. Ce rendez-vous inter-disciplinaire unique se révéla une excellente plate-forme d'échanges d'idées ainsi que d'approches méthodologiques et de compétences, permettant aux participants d'établir de nouvelles directions pour l'avenir de la recherche sur les probiotiques et d'ouvrir la voie à de nouvelles applications. […].
L’intelligence artificielle au service de l’épilepsie pharmacorésistante
EPINOV, le 06/11/2019 : EPINOV lance le premier essai clinique d’une chirurgie cérébrale assistée par la technologie de cerveau virtuel : EPINOV TRIAL, une première mondiale. Les premiers patients seront opérés au premier trimestre 2020 à l’hôpital de la Timone à Marseille […].
Alzheimer : élucider les mécanismes précoces de propagation de la protéine Tau
Fondation Alzheimer, le 14/01/2022 : Lancé en 2021 par la Fondation Alzheimer et le Fonds de Dotation Clinatec, l’appel à projets ALZTEC INNOVATION PROGRAM est destiné à booster les développements technologiques au bénéfice des malades d’Alzheimer. Les deux organismes annoncent aujourd’hui les lauréats : les docteurs Marie-Claude Potier de l’Institut du Cerveau et Pascal Mailley du CEA-LETI pour leur projet collaboratif visant à élucider les mécanismes de propagation de la protéine Tau dans le cerveau des patients ; une protéine directement impliquée dans la formation de la maladie d’Alzheimer. […].
Un nouveau traitement de l'hypertension artérielle qui agit sur le cerveau
Caducee.net, le 27/05/2008 : Une enzyme, appelée aminopeptidase A (APA), constitue une cible thérapeutique potentielle pour le traitement de certaines formes d'hypertension artérielle. C'est ce que viennent de montrer Catherine Llorens-Cortes, directrice de l'Unité Inserm 691 "Neuropeptides centraux et régulation hydrique et cardiovasculaire", et son équipe, en collaboration avec l'équipe de Bernard Roques, au sein de l'Unité Inserm 640 "Pharmacologie clinique et génétique". L'APA, est une enzyme capable de produire dans le cerveau l'angiotensine III, l'un des peptides clés du système rénineangiotensine (1) cérébral, dont le rôle consiste à réguler de façon tonique la pression artérielle chez l'animal hypertendu. Les chercheurs montrent que le blocage de l'APA dans le cerveau normalise la pression artérielle dans différents modèles expérimentaux d'hypertension artérielle. Le détail de leurs travaux est publié dans la revue Hypertension datée de mai 2008. […].
Maladie de Parkinson : une greffe de cellules embryonnaires porcines améliore l'état des patients
Caducee.net, le 14/03/2000 : Une greffe de tissus mésencéphalique embryonnaire de porc dans le cerveau de patients atteints de la maladie de Parkinson améliore l'état des malades selon des travaux publiés dans le numéro de Neurology du 14 mars. Les scientifiques expliquent que cette xénogreffe constitue la première implantation de cellules porcines dans le cerveau humain. […].
Personnalité, dopamine et maladie de Parkinson
Caducee.net, le 31/10/2001 : Une étude finlandaise a tenté pour la première fois de trouver s’il existait un lien entre les types particuliers de personnalité rencontrés chez les parkinsoniens et le métabolisme dopaminergique dans le cerveau. Les chercheurs ont trouvé des corrélations entre certains traits de caractères et le niveau de reprise de la L-dopamine dans une région précise du cerveau. […].
La neuroglobine protège les neurones de l’hypoxie
Caducee.net, le 11/12/2001 : Une étude américaine publiée dans les compte-rendus de l’académie des sciences américaine, décrit une fonction probable de la neuroglobine, une globine à très haute affinité pour l’oxygène retrouvée dans le cerveau. Aussi bien in vitro sur des cellules nerveuses en culture qu’in vivo dans le cerveau de souris, une hypoxie induit une augmentation du taux de neuroglobine. De plus, il a été constaté une corrélation entre la baisse de neuroglobine dans les cellules et la gravité des dommages provoqués dans les cellules par un manque d’oxygène. […].
Sclérose en plaques : où en est la recherche ?
Caducee.net, le 23/06/2008 : I - Qu'est-ce que la sclérose en plaques ? Aujourd'hui, il est admis que la SEP comporte une réaction auto-immune. Le système de défense du malade, normalement engagé dans la lutte contre les microbes, s'emballe et se met à attaquer les propres éléments de l'individu. Dans la SEP, la gaine de myéline qui protège les fibres du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) est progressivement détruite lors d'un processus inflammatoire, de même que l'axone qui conduit l'influx nerveux. On peut comparer symboliquement la perte de myéline à un câble électrique dont la gaine serait détériorée, provoquant alors des perturbations du courant électrique. Ce processus, et la remyélinisation qui se produit parfois spontanément, laisse place à des "plaques" à l'intérieur du cerveau ou de la moelle épinière, visibles uniquement par IRM. […].
Les acides gras oméga DHA et AA occupent le devant de la scène lors d'un congrès sur la nutrition pédiatrique en Asie
PR Newswire, le 19/10/2007 : PÉKIN, October 19 /PRNewswire/ -- Les recherches présentées lors du troisième congrès asiatique sur la nutrition pédiatrique à Pékin, en Chine, appuient fortement la prise d'acides gras lors de la grossesse, du bas âge et de la petite enfance. Un intérêt particulier est accordé aux acides gras oméga 3, c'est-à-dire à l'acide docosahexanoïque (DHA), un gras structurel important pour le cerveau et la rétine de l'oeil, et aux acides gras oméga 6, c'est-à-dire l'acide arachidonique (AA), qui se trouve en abondance dans le cerveau et est nécessaire pour la croissance et l'immunité. […].
intendiX - La communication par la pensée : première BCI destinée aux patients sur le marché
PR Newswire, le 09/11/2009 : SCHIEDLBERG, Autriche, November 9 /PRNewswire/ -- Depuis plus de vingt ans, les chercheurs du monde entier travaillent sur le développement d'une interface cerveau-ordinateur (BCI). C'est un canal de communication directe entre le cerveau et l'ordinateur. Ce système permet aux patients complètement paralysés de communiquer ou de contrôler les appareils de leur environnement par la suggestion mentale. Durant ces dernières années, les chercheurs eux-mêmes ont incité certains patients à se servir de systèmes BCI dans leur vie quotidienne. La compagnie autrichienne g.tec medical engineering GmbH apporte aujourd'hui sur le marché la première BCI destinée aux patients. Le système d'orthographe qui se base sur les électroencéphalogrammes s'appelle intendiX et il permet à l'utilisateur de sélectionner les touches à partir d'une matrice en fixant son attention sur le symbole de l'écran voulu. […].
Neural Analytics, Inc. boucle avec succès un financement de série B de 15 millions USD
Neural Analytics, Inc., le 09/01/2018 : « Ce cycle de financement va nous permettre de poursuivre notre travail dans la foulée de l’élan que nous avons initié en 2017 et d’élargir notre équipe tandis que nous progressons dans le cadre du développement du Lucid System destiné à évaluer et à surveiller d’autres conditions de la santé du cerveau », a déclaré Leo Petrossian, Ph.D., cofondateur et président-directeur général de Neural Analytics, Inc. […].
Schizophrénie : Détecter les premiers signes grâce à l’IRM
Caducee.net, le 02/11/2000 : Une étude par IRM montre que des changements substantiels au niveau du cerveau de malades schizophrènes sont détectables dès les premiers stades de la maladie. Cette étude est parue dans l’American Journal of Psychiatry. […].
Le coronavirus SARS-CoV-2 peut infecter les neurones selon une étude franco-américaine
Sorbonne Université, le 19/01/2021 : Une étude internationale impliquant plusieurs équipes de l’Université de Yale (USA), de l’Institut du Cerveau (Sorbonne Université/INSERM/CNRS) et de l’hôpital Pitié-Salpêtrière AP-HP confirme la capacité du SARS-CoV-2 à infecter les neurones et en identifie plusieurs conséquences. Les résultats ont été publiés le 12 janvier 2021 dans la revue Journal of Experimental Medicine. […].
Variant de la maladie de Creutzfeldt-Jakob : un nouveau test plus sensible
Caducee.net, le 20/07/2001 : Des chercheurs anglais publient dans le Lancet du 21 juillet un article sur un nouveau test de dépistage du prion pathogène. Ce test a permis de mesurer la concentration de prion dans plusieurs tissus périphériques et pas seulement dans le cerveau ou les amygdales. D'après les chercheurs, ce test pourrait être utile pour évaluer le risque de transmission iatrogénique. […].
Les cellules dendritiques impliquées dans la neuro-transmission du prion chez la souris
Caducee.net, le 12/09/2001 : L’INSERM a réuni ce matin rue de Tolbiac à Paris la presse dans le cadre d’une Action Thématique Concertée (ATC) sur le prion. L’invité d’honneur était le docteur Pierre Aucouturier, immunologiste à l’unité Inserm 25 qui venait présenter ses derniers travaux sur le rôle des cellules dendritiques dans le transfert vers le cerveau des agents responsables des encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST), autrement dit les prions. […].
Effets durables des substances addictives : un nouveau mécanisme mis au jour
Caducee.net, le 27/05/2008 : Jean-Antoine Girault, Directeur de l'Institut du Fer-à-Moulin (U839), centre de recherche de l'Inserm et de l'Université Pierre-et-Marie-Curie, et ses collaborateurs viennent de mettre au jour un nouveau mécanisme moléculaire qui explique l'influence, sur le cerveau, de substances telles que la cocaïne. […].
Un test simple pour déterminer si un patient est conscient ou non
Caducee.net, le 09/02/2009 : Est-il possible de déterminer si un individu est conscient en observant l'activité de son cerveau ? Cette épineuse question scientifique est également cruciale pour les cliniciens qui prennent en charge des malades non communicants en réanimation ou des patients qui émergent d'états inconscients tels que le coma ou l'état végétatif. Une équipe française de l'Inserm et du Groupe Hospitalier Pitié-Salpêtrière (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris) dirigée par le Dr Lionel Naccache, associant le Dr Tristan Bekinschtein, neuroscientifique post-doctorant argentin, et le Pr Stanislas Dehaene, directeur de l'unité Inserm/CEA "Neuroimagerie cognitive" à Neurospin vient de mettre au point un test combinant les principes de la psychologie de la perception auditive avec l'enregistrement de l'activité cérébrale. Il permet de détecter l'existence d'une vie mentale consciente sans reposer sur les signes souvent limités de l'examen clinique. […].
La différence génétique entre l’homme et le chimpanzé serait d’ordre quantitative plutôt que qualitative
Caducee.net, le 12/04/2002 : Avec près de 99% de gènes en communs, l’homme et la chimpanzé diffèrent cependant beaucoup en ce qui concerne leur morphologie, leur comportement et bien entendu leurs capacités intellectuelles. Une équipe de recherche internationale a mis en évidence, en comparant les profils d’expression génétique entre primates et humains dans différents organes, que les différences résidaient essentiellement dans la qualité d’expression des gènes, plus particulièrement dans le cerveau où les chercheurs se sont aperçus que les variations évolutives s’étaient précipitées. […].