Merck Serono : Innocuité et efficacité d'Erbitux(R) confirmées pour les essais de combinaison
DARMSTADT, Allemagne, September 26 /PRNewswire/ -- Une foule de données prometteuses sur Erbitux(R) (cetuximab) ont été présentées cette semaine au 14e Congrès européen d'oncologie clinique (ECCO). Les études couvrant de nombreux types de cancer présentent de nouvelles preuves de l'innocuité d'Erbitux dans le cadre de traitements combinés. De plus, un résumé de l'efficacité continue d'Erbitux dans les traitements de première intention et ultérieurs du cancer colorectal métastatique (mCRC) et une mise à jour de l'efficacité d'Erbitux dans le carcinome épidermoïde de la tête et du cou (SCCHN) ont été fournis.
Traitement de première intention du cancer colorectal métastatique (mCRC)
L'essai CAIRO (2), essai randomisé de phase III chez plus de 700 patients, a confirmé l'innocuité de l'ajout d'Erbitux à une combinaison de capecitabine, d'oxaliplatine et de bevacizumab chez des patients souffrant du mCRC n'ayant jamais été traités auparavant. Ces constatations sont très encourageantes à la lumière d'une étude, présentée récemment, sur un autre anticorps monoclonal EGFR dans un environnement semblable dans un traitement de première intention du mCRC. Cette étude a d'ailleurs été arrêtée prématurément en raison de préoccupations sur l'innocuité fondées sur une hausse de la toxicité et la stagnation du taux d'efficacité.(1)
Le professeur C. J. A. Punt, du Centre médical de l'Université Radboud de Nimègue, aux Pays-Bas, a commenté les nouvelles constatations : « Ces données sur Erbitux sont importantes puisque l'innocuité et la capacité de combinaison sont des préalables au développement fructueux de traitements anti-EGFR de première intention du mCRC. »
L'essai CRYSTAL(a), essai international randomisé contrôlé de phase III, a porté sur 1 000 patients et a démontré une hausse statistiquement importante de la durée de survie sans progression au sein du groupe Erbitux/FOLFIRI en comparaison au groupe FOLFIRI. Plus important encore, on a enregistré une réduction générale de 15 % du risque de croissance ou de propagation du cancer colorectal métastatique. L'étude a aussi montré que l'utilisation d'Erbitux augmentait considérablement le taux de réponse (réduction de 50 % ou plus de la tumeur) (47 % dans le groupe Erbitux/FOLFIRI comparativement à 39 % pour le groupe FOLFIRI). En outre, le nombre de résections complètes a été trois fois plus élevé dans le groupe Erbitux/FOLFIRI que dans le groupe FOLFIRI.
L'étude CRYSTAL est l'étude clé du processus d'application à l'Agence européenne des médicaments (EMEA) par Merck Serono (NYSE : SRA) qui vise à étendre l'utilisation d'Erbitux pour en faire un traitement de première intention du mCRC.
« Ces résultats encourageants sont de très bonnes nouvelles pour les patients puisqu'elles indiquent que nous avons une nouvelle option potentielle de traitement de première intention du cancer colorectal métastatique », a affirmé Eric Van Cutsem, MD, PhD, professeur à l'hôpital universitaire Gasthuisberg à Louvain, en Belgique, et auteur principal de l'étude. « D'après ces constatations, cette combinaison d'Erbitux et de FOLFIRI peut donner aux patients un véritable espoir de traitement en réduisant la tumeur suffisamment pour pouvoir effectuer une résection complète. »
Cancer colorectal métastatique prétraité
Des données pertinentes sur l'identification de biomarqueurs, permettant d'ailleurs d'accroître davantage les bienfaits des traitements ciblés, ont été présentées afin de déterminer le traitement le plus efficace qui soit pour chaque patient. À l'ASCO, plus tôt cette année, les données présentées sur les patients traités à l'Erbitux ont démontré l'importance potentielle de KRAS comme biomarqueur prédictif. Les analyses rétrospectives des données de mutation de KRAS ont démontré que chez les patients sans mutation de KRAS (type sauvage KRAS), la combinaison d'Erbitux et d'irinotecan comme traitement de troisième intention des patients souffrant du mCRC a entraîné une durée de survie sans progression de 34 semaines par rapport à 12 semaines chez les patients ayant eu une mutation de KRAS.(2) Manifestement, d'autres recherches sont nécessaires afin de mieux comprendre le rôle des divers biomarqueurs dans le traitement du cancer colorectal.
D'autres données confirmant l'efficacité constante d'Erbitux dans le traitement du cancer colorectal chez des patients déjà traités ont été générées. Les données de l'étude EPIC(b) de phase III, qui comparait le traitement au Erbitux et à l'irinotecan au traitement basé sur l'irinotecan seulement chez des patients atteints du mCRC n'ayant pas réussi le traitement de première intention avec chimiothérapie basée sur l'oxaliplatine, ont démontré que l'ajout d'Erbitux entraînait des taux de réponse considérablement supérieurs ainsi qu'une réduction importante du risque de progression de la tumeur. Grâce à un meilleur contrôle de la tumeur, la qualité de vie liée à la santé a augmenté considérablement dans le volet Erbitux. À l'aide d'un outil d'évaluation validé de la qualité de vie, une différence statistiquement importante en faveur du volet Erbitux a été constatée dans 10 des 15 échelles de symptômes, y compris ceux de la douleur (p<0,0001), des nausées (p<0,0001) et de l'état de santé général (p=0,047).
« La première série de données tirées de l'essai EPIC a démontré que la durée de survie sans progression et les taux de réduction de la tumeur ont augmenté considérablement lorsque Erbitux était administré à cette population de patients. Il est donc très encourageant de constater à partir de ces données un avantage clinique important avec Erbitux selon des paramètres subjectifs et objectifs », a déclaré le professeur Alberto Sobrero, chercheur principal à l'hôpital San Martino, à Gênes, en Italie. « Pour les patients souffrant du cancer colorectal métastatique, la possibilité de se sentir mieux tout en récoltant les avantages du traitement ciblé est bien entendu de très grande importance. »
Les données tirées de l'étude européenne MABEL (c) suggèrent que le type de prémédication donnée aux patients atteints du mCRC peut avoir des répercussions sur l'apparition de réactions liées à la perfusion en relation avec le traitement à l'Erbitux combiné à l'irinotecan. Les données montrent que l'ajout de corticostéroïdes aux antihistaminiques peut réduire les réactions liées à la perfusion à 1 % et, surtout, cela s'est produit sans changer l'efficacité anti-tumeur.
L'étude LABEL(d) d'Amérique latine a confirmé le potentiel thérapeutique d'Erbitux chez une population de patients lourdement prétraités, dont 24 % avaient déjà reçu par le passé un minimum de trois traitements contre le mCRC. Dans le cadre de cette étude à un seul volet, la combinaison d'Erbitux et de l'irinotecan a entraîné un taux de réponse de 27 %, une durée médiane de survie sans progression de plus de 4 mois, ainsi qu'une durée de survie médiane globale de 9,7 mois, confirmant ainsi l'activité continue d'Erbitux constatée dans les études précédentes.
Les résultats des études MABEL et LABEL confirment les constations de l'étude clé BOND, sur laquelle est basée la licence actuelle d'Erbitux.(3)
Études à doses progressives ou alternatives dans le mCRC
Dans l'étude 045, on a révisé l'innocuité et l'efficacité d'Erbitux administré toutes les deux semaines. Les résultats ont montré qu'Erbitux peut être administré de façon sécuritaire toutes les deux semaines, à raison d'une dose de 500 mg/m2.
Les données tirées de l'étude EVEREST(e) indiquent que les ajustements faits à la dose individuelle et guidés par le degré de réaction cutanée peuvent entraîner des taux de réponse plus élevés. L'étude EVEREST a examiné l'effet des doses progressives d'Erbitux chez les patients atteints de mCRC ayant eu aucune ou de faibles réactions cutanées alors qu'ils étaient traités à la dose standard d'Erbitux (250 mg/m2) pendant 3 semaines. L'étude a montré que l'augmentation progressive de la dose d'Erbitux jusqu'à 500 mg/m2 par semaine peut entraîner une réaction à la tumeur chez les patients qui n'ont eu aucune réaction à la dose standard.
« L'abondance de données découlant de ces études sur le cancer colorectal métastatique comprend aussi les patients dont le statut de performance est inférieur à 0 et 1, ce qui rendent les données représentatives de la pratique quotidienne des médecins traitant le cancer », a affirmé le Dr Wolfgang Wein, premier vice-président du service d'oncologie de Merck Serono, division de Merck KGaA, à Darmstadt, en Allemagne. « Nous sommes ravis de ces données prometteuses sur l'Erbitux démontrées pour plusieurs types de cancer. Les résultats contribuent à notre stratégie globale en matière d'oncologie consistant à mettre au point des traitements ciblés novateurs de façon à faire progresser les options de traitements aux patients souffrant du cancer. »
Plus de 370 000 personnes développent le cancer colorectal en Europe chaque année, ce qui représente 13 % de l'ensemble des cas de cancer et cause quelque 200 000 décès.(4) Environ 25 % des patients ont une maladie métastatique.(5) Les taux de survie sur cinq ans pour les patients souffrant du mCRC sont aussi faibles que 5 %.(6)
Traitement de première intention du carcinome épidermoïde de la tête et du cou (SCCHN)
Le traitement de première intention consistant en l'Erbitux combiné avec une chimiothérapie à base de platine a aussi démontré son efficacité en augmentant la durée de survie globale des patients atteints de carcinome épidermoïde récurrent et/ou métastatique de la tête et du cou (SCCHN), qui est d'ailleurs très difficile à traiter. L'essai européen EXTREME(f), essai randomisé contrôlé de phase III, a étudié plus de 400 patients traités à l'Erbitux en combinaison avec une thérapie à base de cisplatine ou de carboplatine comparativement à des patients traités à une thérapie à base de platine seulement. Les patients recevant Erbitux affichaient un taux de réponse de loin supérieur aux autres patients, de même qu'un délai de progression de la tumeur presque deux fois plus lent ainsi qu'une durée de survie beaucoup plus longue. L'essai représente une percée importante ainsi qu'une première en 25 ans où un avantage de survie a été démontré dans un groupe de patients dans un essai randomisé de phase III.
Le chercheur principal de l'essai EXTREME, professeur J. Vermorken du département d'oncologie de l'hôpital universitaire d'Anvers, a commenté : « Ces résultats donnent beaucoup d'espoir aux patients à qui l'on a démontré peu d'optimisme pendant de nombreuses années. Pour la toute première fois en 25 ans, nous pouvons offrir aux patients un traitement ayant prouvé son efficacité en augmentant la durée de survie globale sans compromettre la qualité de vie. Erbitux est véritablement une percée pour les traitements de ce type de cancer. »
Le cancer de la tête et du cou peut apparaître dans les cellules épithéliales de n'importe quel tissu ou organe dans la région de la tête et du cou, à l'exception des yeux, du cerveau, des oreilles, de la thyroïde ou de l'oesophage. La majorité des cancers de la tête et du cou se produisent dans la cavité buccale (43 %), suivis par le pharynx (33 %) et le larynx (24 %).(7) L'incidence estimée des cancers de la tête et du cou en Europe est d'environ 140 000 cas par année, et plus de 65 000 décès par année.(8) À l'heure actuelle, la durée de survie médiane pour les patients souffrant d'une maladie récurrente ou métastatique est d'environ six mois seulement.(9)
(a) CRYSTAL : Cetuximab combined with iRinotecan in first line therapY for metaSTatic colorectAL cancer (Cetuximab combiné avec l'iRinotecan dans un traitement de première intention du cancer colorectal métastatique)
(b) EPIC : European Prospective Investigation of Cancer (Recherche européenne prospective du cancer)
(c) MABEL : Monoclonal Antibody ErBitux in a European Pre-License Study (Anticorps monoclonal ErBitux dans une étude européenne de pré-licence)
(d) LABEL : Latin American ErBitux prE-License study (Étude de pré-licence d'Erbitux en Amérique latine)
(e) EVEREST : Evaluation of Various ErBitux REgimens by means of Skin and Tumour biopsies (Évaluation de divers régimes d'Erbitux au moyen de biopsies cutanées et tumorales)
(f) EXTREME : ErbituX in first line Treatment of REcurrent or MEtastatic head & neck cancer (Erbitux dans le traitement de première intention de cancer récurrent ou métastatique de la tête et du cou)
Remarques aux rédacteurs :
À propos d'ERBITUX
Erbitux(R) est un anticorps monoclonal IgG1 très actif et de première classe ciblant le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR). En tant qu'anticorps monoclonal, le mode d'action d'Erbitux se distingue des traitements classiques de chimiothérapie non sélective en ce sens qu'il vise spécifiquement l'EGFR et qu'il s'y associe. Cette association empêche l'activation du récepteur et de la voie de transduction des signaux subséquents, ce qui a pour effet de réduire à la fois l'invasion des tissus sains par les cellules tumorales ainsi que la progression des tumeurs vers de nouvelles régions. On croit aussi qu'elle empêche la capacité des cellules tumorales à réparer les dégâts causés par la chimiothérapie et la radiothérapie et qu'elle freine la formation de nouveaux vaisseaux sanguins à l'intérieur des tumeurs, ce qui semble provoquer la suppression complète de leur croissance.
L'effet secondaire de l'Erbitux le plus courant est une éruption cutanée ressemblant à de l'acné. Cet effet semble lié à une réponse positive au traitement. Chez environ 5 % des patients, des réactions d'hypersensibilité peuvent survenir pendant le traitement au Erbitux, et environ 50 % de ces réactions sont considérées comme graves.
Erbitux a déjà reçu une autorisation de mise sur le marché dans 68 pays. Jusqu'à maintenant, il a reçu une approbation de traitement du cancer colorectal dans 67 pays : Argentine, Australie, Bélarus, Canada, Chili, Chine, Colombie, Corée du Sud, Costa Rica, Croatie, El Salvador, États-Unis, Équateur, Guatemala, Honduras, Hong Kong, Inde, Indonésie, Islande, Israël, Kazakhstan, Liban, Malaisie, Mexique, Monténégro, Nicaragua, Norvège, Nouvelle-Zélande, Panama, Pérou, les Philippines, République dominicaine, Russie, Serbie, Singapour, Suisse, Taïwan, Thaïlande, Ukraine, l'Union européenne et Venezuela; utilisé en association avec l'irinotecan chez les patients souffrant de mCRC à EGFR qui n'ont pas réussi un traitement antérieur à l'irinotecan. Erbitux est également autorisé en tant qu'agent unique dans les pays suivants : Argentine, Australie, Canada, Chili, Colombie, Costa Rica, El Salvador, Équateur, États-Unis, Guatemala, Honduras, Hong Kong, Liban, Mexique, Nicaragua, Nouvelle-Zélande, Panama, Pérou, les Philippines, République dominicaine, Russie, Singapour, Thaïlande, et Venezuela.
De plus, Erbitux en combinaison avec une radiothérapie a été approuvé pour le traitement d'un carcinome épidermoïde de la tête et du cou (SCCHN) avancé localement dans 60 pays : Argentine, Australie, Bélarus, Brésil, Chili, Colombie, Costa Rica, Croatie, El Salvador, États-Unis, Guatemala, Hong Kong, Inde, Indonésie, Islande, Israël, Kazakhstan, Liban, Malaisie, Mexique, Monténégro, Nicaragua, Norvège, Panama, Pérou, les Philippines, Russie, Serbie, Singapour, Suisse, Taïwan, Ukraine, l'Union européenne, et Venezuela. Erbitux est aussi approuvé en tant que monothérapie chez les patients souffrant de SCCHN récurrent et/ou métastatique, qui n'ont pas réussi une chimiothérapie antérieure, dans les pays suivants : Argentine, Chili, Costa Rica, El Salvador, États-Unis, Guatemala, Hong Kong, Israël, Liban, Mexique, Nicaragua, Panama, Pérou, les Philippines, et Russie.
En 1998, Merck a obtenu d'ImClone Systems Incorporated de New York la licence de commercialisation d'Erbitux à l'extérieur des États-Unis et du Canada. Au Japon, Merck KGaA partage des droits co-exclusifs de commercialisation avec ImClone Systems. Merck s'engage de manière continue envers le progrès des traitements oncologiques et cherche actuellement de nouveaux traitements dans des zones hautement ciblées, comme l'utilisation d'Erbitux dans le cancer colorectal, le carcinome épidermoïde de la tête et du cou ainsi que le cancer du poumon non à petites cellules. Merck a également acquis les droits du traitement du cancer UFT(R) (tegafur- uracil), une chimiothérapie orale administrée avec de l'acide folinique (FA) pour le traitement de première intention du cancer colorectal métastatique.
Parmi les autres traitements du cancer, Merck mène aussi des recherches sur l'utilisation du Stimuvax(R) (anciennement connu sous le nom de vaccin aux liposomes BLP25) dans le traitement du cancer du poumon non à petites cellules. En septembre 2004, la FDA a accordé à ce vaccin la procédure d'évaluation accélérée. Merck a obtenu les droits de licence mondiaux exclusifs de Biomira Inc. d'Edmonton, en Alberta, au Canada.
À propos du KRAS
Le KRAS joue un rôle important dans le développement de la tumeur. C'est un marqueur spécifique des voies en aval.
Références :
(1) Communiqué de presse d'Amgen, 22 mars 2007.
(2) De Roock W et al. J Clin Oncol 2007;25(18S):Abstract 4132.
(3) Cunningham D, et al. Bowel Oncology with cetuximab antibody (BOND) study. Proc Am Soc Clin Oncol 2003; 22.
(4) Parkin DM et al. CA Cancer J Clin 2005; 55: 72-108.
(5) GLOBOCAN. http://www-dep.iarc.fr/
(6) Argiris A et al. Cancer 2004; 101: 2222-2229.
(7) Parkin DM et al. CA Cancer J Clin 2005; 55; 72-108.
(8) GLOBOCAN. http://www-dep.iarc.fr/
(9) Argiris A et al. Cancer 2004; 101: 2222-2229.
À propos de 'Merck Serono'
Merck Serono, la nouvelle division dédiée aux petites molécules novatrices et aux produits biopharmaceutiques de Merck, a été établie à la suite de l'acquisition de Serono et de l'intégration de ses activités avec l'ancienne unité Merck Ethicals Division. Merck Serono, dont le siège social est situé à Genève, en Suisse, découvre, développe, produit et commercialise des produits novateurs afin d'aider les patients dont les besoins médicaux ne sont pas satisfaits. Notre division nord-américaine exerce ses activités aux États-Unis et au Canada sous la raison sociale EMD Serono.
Merck Serono possède des marques de premier plan au service des patients souffrant de cancer (Erbitux(R)), de la sclérose en plaques (Rebif(R)), d'infertilité (Gonal-f(R)), de troubles métaboliques et cardiométaboliques (Glucophage(R), Concor(R), Saizen(R), Serostim(R)), ainsi que du psoriasis (Raptiva(R)). Par le biais de notre investissement annuel de 1 milliard d'euros en recherche et développement, nous sommes engagés à accroître nos activités dans des domaines thérapeutiques ciblés comme la neurologie et l'oncologie ainsi que dans de nouveaux domaines thérapeutiques pouvant potentiellement émerger de nos efforts de recherche et développement sur les maladies auto-immunes et inflammatoires.
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