Les données recueillies par les chercheurs des Instituts nationaux de santé américains (NIH) lors des essais sur ATIR sont encourageantes

AMSTERDAM, November 28 /PRNewswire/ -- Kiadis Pharma a annoncé aujourd'hui que les résultats enregistrés jusqu'à ce jour lors de l'essai entrepris par les médecins et dirigé par le Dr Stephan Mielke(i) et le Dr John Barrett(i) du National Heart, Lung, and Blood Institute (NHLBI), une division des Instituts nationaux de santé (NIH - National Institutes of Health), qui portait sur le produit vedette de Kiadis, ATIR, seront présentés lors de la conférence annuelle de l'AABB (American Association of Blood Banks) & TXPO 2007, qui se tiendra à Anaheim, en Californie.

Selon les chercheurs du NHLBI, lorsqu'il est question d'allogreffes de moelle osseuse, la lutte contre les maladies, la prévention de la réaction du greffon contre l'hôte (GVHD) et le nombre de donneurs disponibles constituent les véritables obstacles à surmonter. Les docteurs Barrett et Mielke ont concentré leurs efforts sur la prévention de la réaction du greffon contre l'hôte tout en ménageant l'effet GVL (un effet antileucémique) ainsi que sur l'augmentation du nombre de donneurs disponibles.

Les données précliniques publiées par les chercheurs se montrent très encourageantes quant aux résultats d'ATIR de Kiadis Pharma sur l'élimination des lymphocytes T alloréactifs entraînés par les greffes de donneurs (Mielke et al., Blood, 2007). Ces résultats ont également incité le NHLBI à entreprendre un essai de Phase II sur ATIR. L'essai vise à démontrer que le traitement par ATIR pourrait éliminer le besoin de recourir à la prophylaxie immunosuppressante post-transplantation. Actuellement, la prophylaxie est la pratique couramment employée pour la prévention de la réaction du greffon contre l'hôte. Elle présente pourtant un inconvénient majeur puisqu'elle augmente le risque d'infection et le taux de rechute. Par conséquent, ATIR ne se contente pas de prévenir la réaction du greffon contre l'hôte, mais pourrait également diminuer les taux d'infection et de rechute. Ensemble, ces complications sont responsables de 70 % des cas de mortalité liés à une allogreffe.

Pour obtenir le communiqué de presse complet, veuillez consulter http://www.kiadis.com/News.

(i)Note

Le Dr John Barrett est le chef du département des allogreffes du National Heart, Lung, and Blood Institute (NHLBI), une division des Instituts nationaux de santé (NIH) située à Bethesda, dans l'État du Maryland aux États-Unis, où l'essai est actuellement en cours. Le Dr Stephan Mielke, qui a entrepris l'essai à titre de chercheur principal de la NHLBI, travaille actuellement à l'Université Julius-Maximilians de Würzburg, en Allemagne, mais figure toujours en tant que directeur associé sur le protocole de la recherche.

Kiadis Pharma a fourni la version anglaise du présent communiqué. Les traductions proviennent d'une tierce partie.

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