Vous êtes dans : Accueil > Actualités médicales >
Dysfonction ventriculaire gauche
12 résultats triés par date
affichage des articles n° 1 à 19
Des bénéfices des inhibiteurs de l'enzyme de conversion chez les patients avec une insuffisance cardiaque
Caducee.net, le 05/05/2000 : Une méta-analyse portant sur près de 13.000 patients avec une insuffisance cardiaque ou une dysfonction ventriculaire gauche indique que les inhibiteurs de l'enzyme de conversion réduisent le taux de mortalité, d'infarctus du myocarde ainsi que le nombre d'admissions pour insuffisance cardiaque. Ces résultats suggèrent que les inhibiteurs de l'enzyme de conversion devraient être envisagés comme traitement de routine chez ces patients à risque. […].
Le ramipril réduit de 22% la mortalité par maladies cardiovasculaires, infarctus et attaque cérébrale chez les patients à haut risque
Caducee.net, le 12/11/1999 : L’inhibiteur de l’enzyme de conversion ramipril réduit de 22% la mortalité globale par maladies cardiovasculaires, infarctus du myocarde et attaque cérébrale chez les patients à haut risque mais n'ayant pas de dysfonction ventriculaire gauche ou d’insuffisance cardiaque, révèle une étude qui a fait l'objet d'une communication accélérée par le New England Journal of Medicine […].
Captopril, valsartan et infarctus du myocarde
Caducee.net, le 13/11/2003 : Le valsartan (antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II) peut être utilisé à la place du captopril (inhibiteur de l'enzyme de conversion, IEC) chez les patients avec un infarctus du myocarde (IDM) compliqué par une dysfonction ventriculaire gauche. Une étude vient de montrer que la mortalité était similaire avec ces deux traitements. […].
Cancer et facteurs de risque cardio-vasculaires : l’importance d’une prise en charge parallèle
Dr TOLEDANO & CASTELNAU MARCHAND, le 22/10/2020 : Alors qu’en l’an 2000, les maladies cardio-vasculaires constituaient la première cause de mortalité, c’est désormais le cancer qui est passé devant en France, mais il reste suivi de près par les maladies cardio-vasculaires. L’âge médian au moment du diagnostic est de 68 ans chez les hommes et 67 ans chez les femmes (1). Or, c’est vers cet âge que les maladies et facteurs de risque cardio-vasculaires présentent également une importante prévalence. […].
Ramipril : les résultats de l’étude HOPE publiés dans le New England et le Lancet
Caducee.net, le 23/01/2000 : Le ramipril réduit le risque d’événements cardiovasculaires de 25 % à 35 % chez les patients à haut risque et diabétiques, âgés de 55 ans et plus, rapportent dans le Lancet les investigateurs de l’étude HOPE (Heart Outcomes Prevention Evaluation). […].
Les résultats de l'étude BEAUTIFUL montrent que Procoralan* (ivabradine) est le premier anti-angoreux permettant de réduire les infarctus du myocarde et les revascularisations chez les coronariens stables
PR Newswire, le 31/08/2008 : MUNICH, Allemagne, August 31 /PRNewswire/ -- […].
Toxicité à long terme du traitement contre le cancer du testicule
Caducee.net, le 26/02/2002 : Le taux de survie après un cancer du testicule traité par chimiothérapie est si élevé aujourd’hui que le problème des effets secondaires de la chimiothérapie de cette maladie se posent concernant la qualité de vie des patients. Une étude allemande montre, avec un recul de plus de treize années, que les effets secondaires sont loin d’être négligeables et que les risques cardiovasculaires, par exemple, affectent plus de 30% des patients traités. […].
ARIAD annonce le début de son essai de dosage de phase II d'Iclusig® (ponatinib) mi-2015
ARIAD Pharmaceuticals, Inc., le 06/01/2015 : « Cet essai clinique devrait fournir des données importantes sur l'efficacité du traitement à l'Iclusig® en commençant à des doses inférieures à celle approuvée actuellement et en maintenant les patients à un faible dosage. Nous espérons pouvoir ainsi mieux caractériser le profil d'innocuité d'Iclusig® administré à des doses initiales inférieures », a déclaré Frank G. Haluska, M.D., Ph.D., vice-président directeur de la recherche et du développement clinique et chef du service médical chez ARIAD. « Nous espérons aussi que cet essai nous permettra d'explorer plus en détail les stratégies de réduction de dose une fois que les patients auront atteint une réponse cytogénétique majeure, afin de maximiser le rapport bénéfice-risque d'une personne sous traitement. » […].
Détection de la maladie coronaire par les examens non invasifs d’imagerie cardiaque chez le patient symptomatique stable: la seule performance diagnostique est-elle suffisante pour guider la stratégie?
Pr Pascal GUERET, le 24/02/2015 : De nombreuses méthodes non invasives d’imagerie cardiaque sont actuellement à notre disposition pour rapporter à une maladie coronaire les douleurs thoraciques ressenties par un patient stable: électrocardiogramme d’effort, scintigraphie myocardique, échocardiographie de stress, IRM de stress, Tomographie à Emission de Positons et scanner coronaire. D’après les recommandations européennes récentes, la démarche diagnostique doit être guidée par l’estimation préalable du niveau de risque coronaire auquel se situe le patient. Le choix de la méthode la plus appropriée dépend ensuite des paramètres habituels que sont la disponibilité locale, l’expertise locale et le respect des contre indications respectives de chaque examen. Bien qu’empruntant des voies physiopathologiques différentes, la performance diagnostique de ces examens pour détecter une maladie coronaire est actuellement assez comparable. A elle seule, elle n’est donc pas suffisante pour justifier la démarche diagnostique choisie. Il est devenu très important de prendre en considération les risques de chacun de ces examens auxquels sont éventuellement exposés les patients ainsi que les données médico économiques de coût/efficacité. […].
Syndromes coronaires aigus : quelles stratégies thérapeutiques ?
Caducee.net, le 14/01/2016 : 22e Réunion Nationale du Groupe de Réflexion sur la Cardiologie Interventionnelle (GRCI) (9 au 11 décembre 2015 – Novotel Paris Tour Eiffel, Paris) Compte-rendu du symposium du 9 décembre parrainé par Daiichi-Sankyo - Lilly […].
Les données présentées à l’ASCO 2016 s’appuient sur le fondement d’ABRAXANE® en combinaison avec la gemcitabine comme un traitement de première intention chez les patients atteints d’un cancer du pancréas métastatique
Celgene Corporation, le 05/06/2016 : « Cette édition annuelle du congrès de l’ASCO continue d’évaluer la thérapie séquentielle par ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine en première intention et comme un produit à combiner avec des agents expérimentaux pour le traitement du cancer du pancréas métastatique », a déclaré Michael Pehl, président, Hématologie et oncologie, Celgene. « ABRAXANE en combinaison avec la gemcitabine joue un rôle essentiel dans la recherche visant à faire progresser les soins dispensés aux patients souffrant de cette maladie réputée complexe. » […].