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Canaux calciques
10 résultats triés par date
affichage des articles n° 1 à 19
Des canaux calciques au cœur d’un mécanisme antidouleur
Caducee.net, le 06/10/2003 : Certains canaux calciques - les canaux Ca2+ de type T- bloquent les signaux de douleur provenant des organes internes, expose une étude publiée dans le dernier numéro de la revue Science. Ce mécanisme paraît impliqué dans les douleurs chroniques et offre de nouvelles pistes pour une analgésie robuste, estiment les auteurs. […].
La polykystose rénale se dévoile un peu plus encore
Caducee.net, le 20/03/2002 : Après les découvertes successives de deux gènes impliqués dans la polykystose rénale autosomique dominante (ADPKD, autosomal dominant polycystic kidney disease), le gène PKD2 en décembre 2000 (voir dépêche) puis le gène PKD1 en février 2002 (voir dépêche), des chercheurs américains ont mis en évidence la fonction de PKD2 dans les cellules épithéliales rénales. […].
Inhibiteurs calciques à libération prolongée et complications cardiovasculaires
Caducee.net, le 29/08/2000 : Une méta-analyse présentée lors du Congrès de l'European Society of Cardiology à Amsterdam indique que les inhibiteurs calciques à libération prolongée présentent plus de risques de complications cardiovasculaires que d'autres hypertenseurs moins coûteux. […].
Une forme de tachycardie serait liée à une mutation génétique
Caducee.net, le 30/01/2001 : Une étude internationale parue dans la revue Circulation montre que des mutations sur le gène RyR2 sont responsables de la tachycardie ventriculaire polymorphique familiale. […].
Le losartan plus efficace que l’aténolol dans certains cas
Caducee.net, le 25/09/2002 : Le groupe international de recherche pour l’étude LIFE (Losartan Intervention For Endpoint Reduction) a montré que dans le traitement de l’hypertension artérielle systolique isolée (HTASI) avec hypertrophie ventriculaire gauche (HVG), l’emploi du losartan est préférable à celui de l’aténolol en terme de mortalité et morbidité cardiovasculaires. Les résultats sont présentés aujourd’hui dans la revue médicale JAMA. […].
Les résulats de l'étude ATHENA avec l a dronédarone (Multaq(R)) discutés au Congrès Mondial de Cardiologie
PR Newswire, le 21/05/2008 : BUENOS AIRES, Argentine, May 21 /PRNewswire/ -- Aujourd'hui au World Congress of Cardiology (WCC), la conférence de presse intitulée 'Nouvelles perspectives de traitement de la fibrillation auriculaire' a soulignée que l'étude clinique ATHENA devrait changer la façon dont les cardiologues envisagent le traitement de la fibrillation auriculaire, l'arythmie cardiaque la plus commune. […].
Un gène impliqué dans la fibromatose gingivale héréditaire mis en évidence
Caducee.net, le 02/04/2002 : Des chercheurs américains et brésiliens en parodontologie, reportent dans la revue American Journal of Human Genetics l’identification et la caractérisation d’un gène retrouvé anormal parmi des individus affectés par une forme d’hyperplasie gingivale, la fibromatose gingivale héréditaire (FGH), une maladie rare autosomique dominante. Ce gène, appelé SOS1, est situé sur le bras court du chromosome 2 et se trouve impliqué à l’état normal dans la voie d’activation cellulaire ‘ras’ dépendante participant au développement de la gencive. […].
Maladie de Parkinson : la Commission européenne approuve XadagoMD (safinamide) pour les patients atteints de la maladie de Parkinson à un stade intermédiaire ou avancé
Zambon S.p.A., le 28/02/2015 : « La lévodopa, toujours le traitement de référence en ce qui concerne les symptômes de la maladie de Parkinson, est associée à des complications motrices lorsqu'on l'utilise à long terme, ce qui constitue un important besoin médical non satisfait dans le traitement de la maladie de Parkinson, a déclaré le professeur Werner Poewe, directeur du service de neurologie, Innsbruck Medical University and University Hospital. Le ciblage des systèmes non dopaminergiques représente une nouvelle approche visant à atténuer ces complications motrices, à améliorer l'efficacité de la lévodopa et à éliminer la nécessité d'en augmenter la dose, car on sait que les doses augmentées aggravent les fluctuations motrices. » […].