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Carcinome canalaire
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Oncoethix démarre des essais de phase 1b sur l'OTX015 dans le traitement de tumeurs solides avancées (OTX015_107) et du gliome (OTX015_108)
Oncoethix, le 12/11/2014 : L'essai prévoit de recruter jusqu'à 98 patients répartis entre sept centres dans cinq pays (Belgique, Canada, Espagne, France et Suisse), y compris l'Institut Gustave-Roussy à Paris, où le professeur Jean-Charles Soria est l'investigateur principal. Trois patients ont déjà été recrutés. L'essai vise à déterminer, dans un premier temps, la pertinence de cinq indications de tumeur solide sous investigation (carcinome de la ligne médiane BRD-NUT, cancer du sein triple négatif, cancer du poumon non à petites cellules entretenant un réarrangement gène ALK/protéine hybride ou des mutations du gène KRAS, cancer métastatique résistant à la castration et carcinome canalaire pancréatique) qui pourront contribuer à la phase 2a de l'essai. […].
Profils génétiques et pronostics des cancers du sein
Caducee.net, le 18/09/2001 : Dans un article à paraître dans la revue PNAS, une équipe américaine décrit une méthode prédictive statistique du pronostic des cancers du sein. Ce test, basé sur l’étude statistique du profil d’expression génétique de cancers primaires, permet non seulement d’estimer l’évolution d’un type de cancer mais également d’associer chaque phénotype tumoral à un profil d’expression génétique. […].
Cancers du sein. Et si leur pouvoir invasif était latent dès le début de leur développement
Caducee.net, le 08/04/2008 : Pourquoi certains cancers sont-ils plus agressifs que les autres ? C'est la question à laquelle ont voulu répondre, à l'Institut Curie, des chercheurs de l'Inserm et des médecins, en étudiant le profil biologique d'une forme de cancer du sein. Résultats étonnants : l'agressivité tumorale semble déterminée dès les toutes premières cellules tumorales et la diversité biologique observée dans les cancers invasifs existe déjà dans les formes localisées. Ces résultats pourraient permettre de mieux définir des sous-populations de cancers localisés et adapter le traitement en fonction des risques associés. Mais avec ces travaux publiés dans Clinical Cancer Research du 1er avril, la question de l'origine de l'agressivité des cellules tumorales reste entière : si elle n'émane pas des modifications biologiques acquises dans le temps par les cellules tumorales, comment se déclenche la capacité invasive ? […].