Vous êtes dans : Accueil > Actualités médicales >
Inhibiteurs de protéases
4 résultats triés par date
affichage des articles n° 1 à 19
Multithérapies anti-VIH chez la femme enceinte: les risques pour l’enfant sont faibles comparés aux bénéfices
Caducee.net, le 13/06/2002 : Un étude regroupant les résultats de sept essais cliniques concernant le devenir d’enfants nés de mères VIH+ traitées par plusieurs anti-rétroviraux, ne montre pas de lien entre les multithérapies et un risque de naissance prématurée ou de mortinatalité. Les résultats, publiés dans le dernier numéro du New England Journal of Medicine, même s’ils semblent infirmer un certain impact (suggéré dans d’autres études) des inhibiteurs de protéases sur le poids à la naissance, ne remettent pas en cause les bénéfices apportés par les multithérapies. […].
Le mécanisme de résistance à l'insuline chez les patients sous inhibiteur de la protéase du VIH identifié
Caducee.net, le 31/05/2000 : Les inhibiteurs de la protéase du VIH tels que l'indinavir, le ritonavir et l'amprenavir sont capables d'inhiber la protéine Glut4, un transporteur du glucose qui permet, sous la stimulation de l'insuline, son stockage dans le muscle et le tissus adipeux. Cet effet pourrait être responsable d'une complication iatrogène majeure observée chez les patients sous antiprotéase. […].
VIH : les inhibiteurs de protéase augmentent le risque d’infarctus du myocarde
Caducee.net, le 04/12/2002 : De nouveaux résultats indiquent que les inhibiteurs de la protéase du VIH-1 sont associés à une augmentation du risque d’infarctus du myocarde. Le risque reste cependant assez limité. […].
L’appareil génital féminin constituerait un réservoir pour le VIH
Caducee.net, le 09/11/2001 : Une étude croisée longitudinale publiée demain dans la revue The Lancet montre que l’appareil génital de certaines femmes représenterait un réservoir potentiel du virus de l’immunodéficience humaine de type 1 (VIH-1), même sous thérapie antirétrovirale et avec des taux d’ARN plasmatiques inférieurs à 500 copies/ml. Toutefois, la détection de la présence virale dans le sang constitue encore le facteur les plus important pour évaluer les quantités virales de l’appareil génital féminin. […].