Utilité de la rachianesthésie aux morphiniques en fin de travail

En cas de situations difficiles en fin de travail pour expulsions par voie basse, la rachianesthésie aux morphiniques est utile lorsqu’une analgésie péridurale n’a pas été instituée, soulignent des anesthésistes-réanimateurs et des gynécologues-obstétriciens de Fort-de-France dans le dernier numéro du Journal de gynécologie obstétrique et médecine de la reproduction.

Les auteurs, cliniciens à la clinique Saint-Paul, rapportent une rachianesthésie avec 10 microgrammes de sufentanil effectuée en fin de travail pour expulsion d’une enfant par le siège et 2 jumeaux chez des parturientes dont l’agitation rendait l’expulsion par voie basse hypothétique ou difficile.

En effet, comme on le sait, en l’absence d’analgésie péridurale, la douleur et la fatigue peuvent induire en fin de travail une agitation maternelle qui, en situations obstétricales particulières telles que la présentation par le siège, la gémellité, peut rendre potentiellement dangereuse l’expulsion du nouveau-né par voie basse.

Le Dr A. Van Elstraete et ses collègues indiquent que l’effet antalgique s’est installé en 5 minutes et que l’accouchement par voie basse a été possible.

Source : Journal de gynécologie obstétrique et médecine de la reproduction, 2000 ; 29 : 202-5.

Les auteurs, cliniciens à la clinique Saint-Paul, rapportent une rachianesthésie avec 10 microgrammes de sufentanil effectuée en fin de travail pour expulsion d’une enfant par le siège et 2 jumeaux chez des parturientes dont l’agitation rendait l’expulsion par voie basse hypothétique ou difficile.

En effet, comme on le sait, en l’absence d’analgésie péridurale, la douleur et la fatigue peuvent induire en fin de travail une agitation maternelle qui, en situations obstétricales particulières telles que la présentation par le siège, la gémellité, peut rendre potentiellement dangereuse l’expulsion du nouveau-né par voie basse.

Le Dr A. Van Elstraete et ses collègues indiquent que l’effet antalgique s’est installé en 5 minutes et que l’accouchement par voie basse a été possible.

Source : Journal de gynécologie obstétrique et médecine de la reproduction, 2000 ; 29 : 202-5.