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Stress psychologique
9 résultats triés par date
affichage des articles n° 1 à 19
Le stress, un facteur de risque cardiovasculaire
Caducee.net, le 13/08/2002 : D’après une vaste étude japonaise, le stress psychologique est associé à une augmentation très marquée du risque de décès par maladie coronarienne ou par accident vasculaire cérébral chez les femmes. La relation est moins nette chez les hommes. […].
Stress et risque cardiaque: un lien remis en cause
Caducee.net, le 24/05/2002 : C’est tout du moins la conclusion d’une étude prospective à paraître dans le BMJ, qui s’est intéressée à la relation entre le stress psychologique ressenti et les maladies cardiovasculaires. Les résultats ne montrent pas de lien objectif entre le stress et les symptômes cliniques observés, mais plutôt avec les symptômes décrits et ressentis par les patients. D’après les auteurs, les études qui établissent ces liens possèdent des biais au niveau de l’estimation du stress et des catégories de population étudiées. […].
Le stress est-il un facteur de risque de récidive du cancer du sein ?
Caducee.net, le 14/06/2002 : Le débat est relancé avec cette nouvelle étude observationnelle publiée dans le British Medical Journal, qui contredit une étude cas-contrôle publiée précédemment dans le même journal (BMJ 1989 ;298 :291-3). Les résultats indiquent que les expériences de stress psychologique important n’influencent pas l’incidence des cas de récidive de cancer du sein. C’est selon les auteurs les différences méthodologiques entre les études qui expliquent ces apparentes contradictions. […].
Des traitements anti dépresseurs évitent les modifications cérébrales dues au stress
Caducee.net, le 03/10/2001 : Une étude allemande qui paraîtra dans la revue PNAS du 9 octobre décrit comment un antidépresseur, la tianeptine, permet de prévenir les modifications chimiques et structurelles de l’hippocampe lors d’un stress psychologique. […].
Stress psychologique et mortalité d’origine cardiaque
Caducee.net, le 21/12/2001 : Les chinois et japonais d’Amérique sont plus enclins à mourir le quatrième jour du mois que les blancs américains, selon une étude du British Medical Journal. L’explication donnée est que le stress psychologique engendré par le chiffre 4, considéré comme portant malheur chez ces populations, agit sur la mortalité d’origine cardiaque. […].
Une perte de poids de la mère pendant l'allaitement ne nuirait pas à la croissance de l'enfant
Caducee.net, le 17/02/2000 : Une perte de poids modérée chez des femmes en surcharge pondérale qui allaitent ne ralentit pas la croissance de leur enfant. Chez la mère, une perte de poids d'environ 4 kg entre la 4° et la 14° semaine après l'accouchement ne semble pas altérer la santé du nourisson. Ce résulat est issu d'une étude publiée dans le New England Journal of Medicine daté du 17 Février. Cependant, un éditorial qui accompagne l'article indique que ces résultats doivent être interprétés avec beaucoup de précaution. […].
Traitement du diabète et augmentation du risque de dépression
Caducee.net, le 24/06/2008 : Des travaux publiés cette semaine dans le JAMA indiquent que les personnes soignées pour un diabète de type 2 présentent un risque plus élevé de développer des symptômes dépressifs. D’un autre côté, une association plus modeste a été retrouvée chez les personnes dépressives pour le risque de développer un diabète de type 2. Les auteurs mettent notamment en avant des facteurs psychologiques et comportementaux pour expliquer cette association à double sens. […].
Burnout, Hyperstress, Pénibilité : les chiffres alarmants de la souffrance au travail des soignants libéraux
Caducee.net, le 05/03/2021 : La caisse de retraite complémentaire et prévoyance des infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes, pédicures-podologues, orthophonistes et orthoptistes (CARPIMKO) a publié en ce début d’année une enquête édifiante sur la pénibilité à laquelle sont confrontés les praticiens de santé libéraux. Si bon nombre de métiers exposent à des contraintes physiques dont la négligence serait une erreur, cette étude sonne comme un immense cri d’alarme sur l’état de santé psychologique des soignants libéraux après plus d’un an de crise sanitaire. […].