Les brûlures
Définition
On compte 300 000 à 400 000 cas de brûlés en France
chaque année, dont environ 10 000 à 15 000 sont
hospitalisés.
Les brûlures sont des destructions cellulaires de la
peau et des structures sous jacentes.
Il existe différents types de brûlures : les brûlures
thermiques, les brûlures électriques, les brûlures chimiques
et les brûlures par radiation. Elles peuvent être
superficielles, intermédiaires, ou plus profondes et avoir
une localisation généralisée ou particulière (cou, face,
yeux, mains, pieds, articulations......).
- Les accidents domestiques sont en cause dans 70% des
cas,
- dans 20% des cas, il s'agit d'un accident du
travail,
- dans 3-4 % des cas, il s'agit d'un accident sur la
voie publique et
- dans 6-8% des cas, un suicide.
Physiopathologie de la brûlure
On compte 300 000 400 000 cas de brûlés en France chaque année, dont environ 10 000 15 000 sont hospitalisés. Les brûlures sont des destructions cellulaires de la peau et des structures sous jacentes. Il existe différents types de brûlures : les brûlures thermiques, les brûlures électriques, les brûlures chimiques et les brûlures par radiation. Elles peuvent être superficielles, intermédiaires, ou plus profondes et avoir une localisation généralisée ou particulière (cou, face, yeux, mains, pieds, articulations......). - Les accidents domestiques sont en cause dans 70% des cas, - dans 20% des cas, il s'agit d'un accident du travail, - dans 3-4 % des cas, il s'agit d'un accident sur la voie publique et - dans 6-8% des cas, un suicide. Physiopathologie de la brûlure
1 / Retentissement local
- détersion de la brûlure,
- cicatrisation correspondant à une épithélialisation à
partir des bords de la plaie ou une épidermisation à partir
des îlots épidermiques sains.
- Si la membrane basale et les annexes dermiques sont
détruites, l'épidermisation spontanée est impossible. On se
trouve face à une brûlure profonde.
2 / Retentissement général
Dans les 3 premiers jours :
- choc hypovolémique,
- exsudation plasmatique au niveau des plaies : elle est
secondaire à une augmentation de la perméabilité des
vaisseaux dans les territoires brûlés et les zones
adjacentes,
- oedème interstitiel.
Le 3ème et le 4ème jour :
- résorption des oedèmes entrainant une hémodilution.
Du 7ème-8ème jour à la guérison par obtention du
recouvrement cutané :
- risques d'infection liée à une contamination endogène mais
aussi exogène : l'absence de barrière cutanée et la
dépression immunitaire qui l'accompagne favorisent la
survenue d'infections locales et générales qui sont
responsables de plus de 50 % des décès survenant chez les
grands brûlés.
- risques de dénutrition due à l'hypermétabolisme, véritable
emballement du moteur cellulaire.
- Autres complications possibles : rénales (insuffisance
foncitonnelle et organique), pulmonaires, digestives (ulcère
de stress, hémorragie...), thromboemboliques (phlébite,
embolie pulmonaire) et neurologiques (troubles de la
conscience et du comportement, coma).
- Des complications tardives comme les séquelles cutanées,
articulaires ou tendineuses peuvent perturber la vie sociale
du brûlé.
Classification et diagnostic
Face à une brûlure, il convient de mettre en évidence lors du diagnostic :
- la profondeur de la brûlure,
- la surface qui est l'étendue de la brûlure,
- la localisation de la brûlure,
- l'agent responsable de la brûlure,
- et le terrain de la brûlure.
1 / La profondeur de la brûlure
On décrit classiquement trois degrès de profondeur de la
brûlure cutanée :
- La brûlure du premier degré :
simple érythème douloureux pendant 1 à 2 jours.
- La brûlure du second degré
superficielle : phlyctène séreuse au milieu d'une
zone érythémateuse. Douleurs importantes.
La brûlure du second degré
profond (brûlure intermédiaire) : phlyctènes avec
sous-sol pâle et mal vascularisé. Sont peu
sensibles.
- La brûlure du troisième degré :
tout le derme est lésé, il y'a une carbonisation des
téguments et des tissus
sous-jacents. On observe une escarre de
coloration brune parfois noire, plus ou moins épaisse avec un
lacis veineux coagulé. La zone est très peu
douloureuse voire insensible.
2 / La surface ou l'étendue de la brûlure
L'étendue de la brûlure est déterminée par "la règle des 9" de Wallace. Si l'étendue d'une brûlure excède 20% de la surface corporelle de l'adulte, la brûlure est considérée comme grave. Cette valeur limite est ramenée à 10% si la victime est un enfant ou une personne âgée. En pratique, on peut calculer l'étendue de la brûlure en utilisant la paume de la main du patient comme référence : elle représente environ 1% de sa surface corporelle.
- Tête et cou : 9%
- Face antérieure du tronc : 2x9%
- Face postérieure du tronc : 2x9%
- Membres supérieurs : 2x9%
- Membres inférieurs : 2x18%
- Organes génitaux externes : 1%
Il existe d'autres méthodes pour calculer le pourcentage de
surface br ûlée totale comme la table de Lund et Browder.
L'appréciation pourra être complétée par le calcul des
indices de gravité :
- Unit Burn Standard (UBS) = %SB (surface br ûlée) 3 x (%SB
de 3ème degré) : grave si supérieur à 100, létal si supérieur
à 150
- Indice de Baux = âge %SB ( 15% si tarres médicales
associées) : survie à 100% si inférieur à 50, survie
inférieure à 10% si supérieur à 100.
3 / La localisation de la brûlure
Une brûlure présente un caractère de gravité particulier lorsqu'elle touche :
- la face ou le cou : risque d'asphyxie,
- les organes génitaux externes : risque septique,
possibilité d'obstruction des voies urinaires nécessitant la
mise en place d'une sonde urinaire,
- les zones périarticulaires : risque d'apparition de
cicatrices réfractiles dans les plis de flexion,
- les extrémités : risque d'atteinte fonctionnelle.
- Les brûlures de la moitié inférieure du corps sont souvent
plus graves car elles gênent le nursing et touchent les
meilleurs zones de prélèvement cutané.
4 / Les agents responsables de la brûlure
On distingue plusieurs types de brûlures :
- Les brûlures thermiques : brûlures par
flammes, brûlures par vapeurs chaudes ou liquides bouillants
(c'est le type de brûlure qui touche le plus fréquemment les
enfants), brûlures par contact (la gravité dépend alors de la
température de l'objet et du temps de contact).
- Les brûlures électriques : les brûlures
par arc électrique (brûlure thermique par embrasement) et les
brûlures par contact direct avec le conducteur (toujours
profonde). Dans ce dernier cas, le risque immédiat est
cardiaque, rénal et neurologique.
- Les brûlures chimiques : elles sont dues à
l'action caustique d'un acide fort (acide chlorydrique, acide
sulfurique, acide nitrique) ou d'un base forte (soude,
potasse).
- Les brûlures par radiation ionisante :
radiodermites provoquées par les radiations
électromagnétiques, corps corpusculaires.
5 / Le terrain de la brûlure
L'âge de la victime est un élément de gravité à prendre en compte : la brûlure aura un retentissement plus important aux périodes extrèmes de la vie (nourrisson, vieillard). âge physiologique, existence d'une insuffisance chronique (cardiaque respiratoire ou rénale) ou d'une pathologie grave préexistante viennent encore aggraver le pronostic du brûlé.
Pronostic
Les brûlures ont un retentissement local mais aussi général engageant parfois le pronostic vital du fait de leur étendue, du terrain et d'éventuelles lésions associées. On considère généralement que la brûlure est grave lorsque la surface dépasse 15%.
Traitement
1 / Les premiers soins
- Supprimer l'agent br ûlant,
- refroidir immédiatement le territoire br ûlé à l'eau froide
(au moins 15 minutes) afin de prévenir la poursuite des
phénomènes thermiques, de nettoyer les territoires lésés et
de soulager la douleur,
- enlever les résidus de vêtements br ûlés avec
prudence,
- réchauffer le br ûlé à l'aide d'une couverture,
- protéger les plaies avec des pansements stériles,
- vérifier les vaccinations antitétaniques. En cas de doute,
procéder à une immunisation contre le tétanos.
1 / Le traitement local
- brûlures du 1er degré : l'érythème s'estompe au bout de
quelques jours et la peau desquame. Le traitement est
symptomatique et peut consister en l'application d'un gel
refroidissant qui soulage le patient et atténue le
prurit.
- brûlures du 2ème degré : les structures épithéliales et la
partie superficielle du derme sont intactes. L'évolution
spontanée est donc favorable dans un délai de 2 semaines. Les
brûlures peu étendues seront traitées en appliquant un
pansement comportant un film de protection, une pommade ou un
pansement actif. En cas de br ûlure étendue de degré 2a, le
patient devra être hospitalisé afin de corriger les pertes
hydro-électrolytiques et pour permettre le renouvellement des
pansements. Les pansements sont appliqués après le retrait
des bulles et doivent être poursuivis jusqu'à la
cicatrisation. En cas d'incertitude entre un degré 2a et 2b,
l'application d'une pommade à la flammazine est indiquée. La
lésion sera réévaluée à chaque changement quotidien de
pansement lequel devra être pratiqué sous irrigation à l'eau
tiède.
- brûlures de degrés 2b et 3 : elles doivent faire l'objet
d'un traitement chirurgical en milieu hospitalier.
1 / Le traitement en milieu hospitalier
Face à une br ûlure grave d'un patient, il faut traiter
:
- la fuite massive de plasma
Un grand br ûlé peut perdre jusqu'à 1,5 litres de plasma en
une heure. Il faut donc perfuser en urgence des
macromolécules et des solutés (sérum glucosé et sérum salé)
dont la quantité est fonction de la règle d'Evans (quantité à
perfuser pendant 24 premières heures = ration de base
quotidienne 2 ml par % de surface brûlée et par kg de poids
du sujet). Pendant les deux premiers jours, il faudra
également traiter le choc hypovolémique secondaire à la
"plamorragie" ainsi que le choc traumatique lié aux lésions
tissulaires.
- le risque de dénutrition qui est
majeur
Il s'explique par une augmentation considérable du
métabolisme provoquant une surconsommation de calories : 5
000 au lieu de 500 habituelles. Il faut donc agir rapidement
en proposant une alimentation par voie entérale si la voie
orale est indisponible pour cause de br ûlure étendue.
- le risque d'infection
L'infection représente la complication la plus fréquente et
la plus sévère des brûlures graves (elle est responsable de
plus de 50% des décès survenant chez les grands br ûlés) du
fait de l'absence de barrière cutanée et de la dépression
immunitaire d'où la nécessité de pratiquer rapidement un
recouvrement de la surface cutanée br ûlée par :
> autogreffe :
prélèvement superficiel en zone saine de bandes de peau pour
recouvrir les brûlures profondes.
> allogreffe
: consiste en la couverture temporaire avec de la peau de
cadavre cryopréservées ou conservées
dans le
glycérol (une solution d'attente car sont souvent
rejetées).
> greffe de
substituts cutanés : ces substituts ont pour rôle
d'empêcher les déperditions thermiques liées à la
plaie,
d'éviter l'infection, de faciliter la cicatrisation future en
créant un support dermique de qualité.
Actuellement,
on en trouve trois sur le marché : l'Intégra, le
Dermograft-TC et l'Alloderm.
> greffe de
culture d'épiderme : elle n'est envisagée qu'au delà
d'un seuil de br ûlure que l'on fixe aujourd'hui à
60% de
la surface corporelle. Cette technique permet à partir de 2 à
3 biopsies d'obtenir en 3 semaines
suffisament
d'épiderme pour couvrir l'individu donneur. Elle n'est pas
sans problèmes : fragilité de la membrane
dermo-épidermique,
qualité du derme sur lequel sont posées les cultures, co ût
important de l'opération. Les
résultats
sont encore loins d'être satisfaisants.
- les complications liées à la
cicatrisation
> avec le problème de
rétraction de la peau : il peut avoir des
conséquences fonctionnelles graves limitant les
zones
articulaires et provoquant parfois un enraidissement des
zones atteintes.
> et le problème de
l'hypertrophie de la cicatrice qui peut laisser des
séquelles fonctionnelles et esthétiques
pendant
de nombreuses années.
Il ne faut pas non plus oublier de prendre en compte dans la prise en charge du br ûlé :
- la douleur
Avec des antalgiques niveau II et III (morphiniques) de
l'OMS.
- l'accompagnement psychologique
A ne pas négliger. En effet, à la suite de grandes brûlures,
on observe des troubles psychologiques dans 25 à 30 % des
cas.
Pour en savoir plus
Sites généraux
brûlures
Epidémiologie des brûlures de l'enfant, gravité,
physiopathologie, premiers soins, soins généraux, soins
locaux, après la cicatrisation - la cicatrice, conclusion.
Dernière mise à jour : juin 2001.
Par A. Le Touze et M. Robert - Manuel de chirurgie
pédiatrique (chirurgie viscérale), année 1998.
Les brûlures
Physiopathologie - Anatomopathologie - Diagnostic - Pronostic
- En résumé - Les complications - Principe du traitement -
Forme clinique.
Chapitre 18 - Orthopédie. Questions d'internat en ligne
sur le site du CHU de la Pitié Salpêtrière.
Par Christophe Castelain, Michel Christofilis, Marc
Jayankura, Camille Samaha et Samy Zouaouy.
Dernière mise à jour : septembre 2000.
Voir le document
brûlures
Etiologie - Physiopathologie, diagnostic - conduite à tenir
en situation d'urgence - Fiche thérapeutique.
Par l'Institut La conférence Hippocrate.
brûlures
Signes et symptomes - Brûlures thermiques - Brûlures
chimiques - Brûlures électriques - Brûlures des voies
respiratoires par inhalation de fumées ou de gaz.
Par la Commission de la santé et de la sécurité du
travail (CSST), 1999. Sur le site Service Vie.
Voir le document
Les accidents domestiques un par un
Article du Dr Jean Lavaud (sur le site d'éducation à la
santé) qui explique les gestes qu'il convient, en cas
d'accident, de faire immédiatement, en attendant un conseil
médical téléphonique, la venue d'un médecin en urgence, le
transport aux urgences hospitalières ou le déplacement d'une
équipe médicalisée du SAMU.
Les brûlures par liquides, solides chauds, flamme,
électricité.
Kinebrul
Le site de la kinésithérapie des brûlures et de leurs
cicatrices. Données générales sur la br ûlure, la chirurgie
des brûlés ou encore leur rééducation. Mais aussi de nombreux
liens et des conseils en ligne.
Voir le
document
brûlures associées aux boissons
chaudes.
Plus de la moitié (62,7 %) des
brûlures occasionnées par des boissons chaudes ont été
relevées auprès de jeunes enfants de moins de 2 ans. Base de
données du SCHIRPT, données sommaires pour l'année 1996, tout
âges.
Par Santé-Canada - Direction générale de la protection de
la santé - Laboratoire de lutte contre la maladie (mis à jour
11/01/99).
Les brûlures chez l'enfant
Les brûlures chez l'enfant
Notions générales, bilan clinique, conséquences de la br
ûlure, traitement.
Par M. Roussey de l'Institut Mère-Enfant, annexe
pédiatrique, Hôpital sud, Rennes. Mise à jour : 29 février
2000.
brûlures de l'enfant : des séquelles trop souvent
définitives
Le profil type, brûlures par liquide chaud : les plus
fréquentes, brûlures par flammes : gravissime, brûlures
electriques : de plus en plus rares, les conseils aus
familles, conclusion. Aussi des cas cliniques.
Par Jean Lavaud, SMUR pédiatrique, hôpital Necker-Enfants
malades, Paris.
La Revue du Praticien - Médecine générale, tome 14, N°
494 du 27 mars 2000.
Les grandes brûlures
Evaluation de la gravité des brûlures :
Physiopathologie
Les principaux facteurs de gravité, les indices pronostiques,
classification de la gravité, physiopathologie, perturbations
métaboliques, complications infectieuses, perturbations
respiratoires, autres perturbations, conclusion.
Par Daniel Wassermann, Centre des br ûlés, hôpital
Cochin. Sur le site Urgence Pratique consacrée entièrement à
la médecine d'urgence. Dernière mise à jour : 11 janvier
1999.
http://www.hc-sc.gc.ca/pphb-dgspsp/injury-bles/chirpp/injrep-rapbles/hotbev_f.html
La br ûlure
Ce dossier trés complet consacré à la grande br ûlure
présente l'histoire médicale de cette pathologie. Celle-ci
pose un certain nombre de problématiques propres et nécessite
le recours à des traitements extrêmement spécifiques
(réanimation, chirurgie et rééducation). Les voies d'avenir,
états de la recherche et de la prévention sont abordées. Les
centres hospitaliers traitant les grands br ûlés sont
également répertoriés.
Dialogue n°10 de l'Inserm, mai-juin-juillet
1998.
Le grand br ûlé en phase initiale
La phase initiale de la prise en charge d'un grand brûlé se
déroule idéalement dans un service de réanimation spécialisé.
Elle débute immédiatement après l'accident pour se terminer
quand le recouvrement cutané est assuré et les fonctions
vitales sont stabilisées.
Par le Dr P. Hugeux - LES BRULES (mise à jour : 8 janvier
99).
Traitement
Recommandations pour le traitement ambulatoire des
brûlures du premier et du deuxième degré
Objectif thérapeutique - Diagnostic - Les indications
symptomatique et pronostique - Le traitement ambulatoire et
le traitement en milieu hospitalier - Le traitement local et
le traitement systémique - La prévention tertiaire et
primaire - Documentation - Liste des tableaux.
Par Karl-Gustav Werner, 31 juillet 1999. Sur le site
Compliance Réseau des Médecins / Initiative Santé.
Le traitement chirurgical de la br
ûlure
Le traitement chirurgical de la brûlure
fraîche et de ses séquelles nécessite une connaissance
complète des procédés de chirurgie réparatrice.
Malheureusement, même avec le meilleur des résultats
fonctionnels, les séquelles esthétiques perdurent. Les
techniques d'expansion cutanée de la peau saine avoisinant la
cicatrice donnent, dans ce domaine, d'excellents résultats
.
LA LETTRE DU MEDECIN REEDUCATEUR, N° 39 - 2 ème Trim.
1996 : LES BRULES (mise à jour : 8 janvier 99).
Brûlures étendues récentes : diagnostic et traitement
initial
Introduction - Clinique - Diagnostic - Traitement.
Par F. Moutet - 1997. Consultation du Corpus Médical /
Stomatologie & Chirurgie maxillo-faciale.
Greffe d'épiderme de culture
Une
nouvelle technique de greffe cutanée a révolutionné la prise
en charge des très grands brûlés (au delà de 60% de la
surface du corps). Il s'agit de la greffe d'épiderme de
culture.
Entretien avec le Dr Jean-Michel Rives. La Lettre du
Médecin Réeducateur. N° 39 - 2 ème Trim. 1996 : LES BRULES
(mise à jour : 8 janvier 99).
SFETB
Société Française des Etudes et Traitements des
brûlures
La SFETB regroupe l'ensemble des professionnels impliqués
dans le traitement de la brûlure. Elle a pour but de
promouvoir les connaissances sur la brûlure dans ses
différents aspects : physiopathologie, clinique, traitements,
prévention, recherche& Ce site apporte des informations à
l'usage des professionnels de la santé mais aussi des
informations et des conseils à l'usage du grand public. La
SFETB publie la revue trimestrielle "Brûlures", disponible
sur abonnements.
Voir le
document
#COVID-19 : le point de situation épidémiologique sur le coronavirus SARS-CoV-2
Descripteur MESH : Brûlures , Classification , Diagnostic
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Quentin Amourette| 11/02/2021-